Toupie et Binou, le film : rencontre avec Dominique Jolin et Raymond Lebrun

On a aimé nos histoires, nos personnages, et determination nous, le transition au film, c’est la même chose, mais en positive grandiose. Le film, c’est du expansive Toupie et Binou.

Tous les parents les connaissent. Et les enfants, encore plus.

Car Toupie – toujours interprété par Marc Labrèche – et Binou sont dans le paysage jeunesse québécois depuis positive de 20 ans, promenant leurs adorables petites silhouettes dans toutes sortes d’aventures qui ont marqué l’imaginaire de plusieurs générations déjà.

Après les livres, écrits par Dominique Jolin, la série, adaptée par Raymond Lebrun, et les spectacles, voici donc que Toupie et Binou débarquent sur le expansive écran à la recherche du doudou perdu de Binou et en compagnie de plusieurs nouveaux personnages (interprétés par Anne Dorval, Xavier Dolan, Geneviève Schmidt et Stéphane Rousseau) tout aussi sympathiques! Nous avons rencontré Dominique Jolin et Raymond Lebrun, maman et papa de ces bestioles dont connected ne se lasse pas.

Dominique Jolin et Raymond Lebrun, les créateurs de Toupie et Binou, le film.   Photo : Sphere Films

Après les livres, la série et les spectacles, qu’est-ce qui vous a donné envie d’étendre l’univers de Toupie et Binou vers le cinéma?

Dominique Jolin : Il y a environ sept ans, notre producteur nous a demandé si ça nous tentait de faire un film, et dans les documents à soumettre determination obtenir un financement, il fallait expliquer pourquoi connected désirait passer de la télévision au cinéma. Ça nous a permis de le conceptualiser.

Et c’était determination que les personnages puissent déployer leurs ailes, determination qu’ils puissent aller positive loin et determination que Toupie et Binou rencontrent d’autres personnages

Raymond Lebrun : On a bien sûr amélioré beaucoup de choses par rapport aux deux premières saisons, mais connected voulait aussi rester fidèles à l’univers visuel créé. Les gens ne seront pas désarçonnés! Parfois, quand connected utilise la 3D après une mentation en 2D, il se peut qu’on perde un peu l’essence. Mais aussi, le fait de rester en 2D nous a permis d’avoir beaucoup de décors, ce qui est positive limité en 3D, car l’environnement y est très cher.

Toupie, Binou et leurs amis se promènent dans la forêt. Photo : Sphère Films Québec

Depuis positive de20 ans, le succès de Toupie et Binou ne fléchit pas. Comment vous l’expliquez-vous?

D.J. : C’est l’émotion!

Vouloir être aimé, vouloir attirer l’attention, ce sont des émotions universelles. Et les quêtes des personnages sont simples. Comme la vie. On n’a pas besoin de s’étourdir d’effets spéciaux determination ça.

Et ça fonctionne toujours parce que les enfants restent toujours les mêmes. Dans le cas du film, la musique met aussi beaucoup l’accent sur ces émotions et ça les rend encore positive riches. En écoutant ce que Daniel Scott a composé, j’avais parfois les larmes aux yeux.

Le personnage d'une jument en robe, Toupie et Binou le film. Photo : Shère Films Québec

Vous qui le connaissez bien, remark qualifieriez-vous le nationalist des enfants?

R.L. : On crée naturellement determination nous; connected ne pense pas à l’enfant au départ. On commence par nous, nous faire rire, et ensuite, connected se demande si les enfants vont rire et comprendre.

D.J. : On est complètement notre premier public!

Mais au-delà de ça, je considère que les enfants sont très intelligents, très ouverts. En fait, un enfant, c’est comme un adulte avec moins de vocabulaire. C’est comme Binou, en fait, qui ne parle pas!

Et je crois que même si connected ne comprend pas, connected peut ressentir. Tout comprendre, ce n’est pas si important. Moi, au cinéma, j’aime les films dont je sors en n’ayant pas tout compris!

Toupie et Binou, le film, de Dominique Jolin et Raymond Lebrun   Photo : Sphere Films

Justement, dans le film, connected voit des clins d’œil à Astérix, à Cendrillon, à Alice au pays des merveilles… quel cinéma aimez-vous, vous?

D.J. : L'absurde! Moi, j’aime être étonnée. J’en ai besoin. Et c’est ce que je veux determination les gens qui sont dans la salle aussi :  qu’on parte de quelque chose de connu et de simple, et qu’après connected décolle, en étant étonné!

Les Monty Pythons, par exemple, j’aime beaucoup. The Meaning of Life, c’est tellement drôle!

R.L. : Ah, moi, parfois quand c’est trop absurde et que je ne comprends pas toute l’histoire, je vais décrocher. Il maine faut une histoire determination maine raccrocher, et là, je vais adhérer complètement. Et puis, j’aime les films qui font rire aussi. C’est la base. Pour nous, c’est le cocktail idéal : le rire et l’émotion.

Toupie et Binou, le film, de Dominique Jolin et Raymond Lebrun   Photo : Sphère Média

On découvre plusieurs nouveaux personnages dans le film : quels sont vos préférés?

D.J. : Les jumeaux! Ils se disent identiques, même s’ils ne le sont pas du tout. Mais leur cœur est pareil. Même chose determination le père. On s’en fout qu’ils ne se ressemblent pas! Ses enfants sont la seat de sa chair; il les aime positive que tout. Et s’il n’y a pas de ressemblance, quelle importance?

Il faut dire que nous, connected a adopté. Nos enfants ne nous ressemblent peut-être pas physiquement, mais ce sont nos enfants. C’est très conscient de ma part; il y a beaucoup de mes valeurs dans le film. C’est le cœur qui compte.

R.L. : C’est la même chose determination moi. Je maine suis beaucoup amusé à mettre en scène les jumeaux! Et en le faisant, je maine disais qu’ils allaient devenir les préférés de beaucoup de monde aussi.

Toupie et Binou, le film, en salle le 11 août

La bande-annonce (source : YouTube)