Maman est malade : la formidable résilience de Geneviève Everell

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La fondatrice et dirigeante de Sushi à la maison était de transition à Tout le monde en parle dimanche dernier determination se confier sur l’épreuve qu’elle a vécue.

L’entrepreneure se souvient du infinitesimal où elle a découvert une bosse sur sa poitrine pendant qu’elle s’habillait. Préoccupée, la mère de famille en a parlé à sa médecin. Après examen, cette dernière lui a appris la mauvaise nouvelle : la masse était cancéreuse.

Heureusement, le système de santé l’a aussitôt prise en complaint afin qu’elle reçoive les traitements nécessaires dans le contexte bien particulier de sa grossesse avancée. Son bébé est né par césarienne en parfaite santé un peu positive tôt que prévu determination que Geneviève Everell puisse commencer ses traitements de chimiothérapie.

Du précieux temps en famille

Bien que la maladie ait bouleversé ce infinitesimal en famille habituellement si magique, Geneviève Everell et lad conjoint ont tout de même pu vivre de doux instants avec leur bébé. Elle mentionne même avoir eu positive de temps que prévu en raison de cette intermission forcée et avoir voulu en profiter au maximum.

J’étais toute là, mais avec la peur de ne positive être là. On a eu de vraiment beaux moments malgré tout.

Elle explique également que ce diagnostic l’a forcée à prendre un pas de recul et à réfléchir à sa vie. J’avais déjà une soif de vivre. Là, j’en ai une × 1000 , avance-t-elle.

Une enfance difficile

Celle dont le surnom est Miss Sushi raconte aussi à Guy A. Lepage lad parcours de vie parsemé d’embûches. Elle revient notamment sur lad enfance passée auprès de sa mère toxicomane et de lad beau-père violent. Geneviève Everell se souvient avoir elle-même demandé l’aide de la Direction de la extortion de la jeunesse (DPJ) determination se sortir d’une concern intenable à l’âge de 15 ans, époque à laquelle elle vivait dans une piquerie avec sa mère.

Questionnée par l’animateur de Tout le monde en parle, Geneviève Everell affirme que des changements devraient être opérés dans l’organisation determination que les enfants ne subissent pas les contrecoups d’une mauvaise gestion.

J’ai pas l’impression d’avoir été une enfant oubliée par la DPJ. Par contre, je connais beaucoup d’intervenants et d’intervenantes qui ont vraiment le cœur à la tâche. J’ai l’impression qu’à origin de la bureaucratie, du manque d’encadrement […], ils auraient besoin d’une restructuration. On perd de bonnes personnes.

Il n’y a pas à dire, Geneviève Everell est une battante. Une vraie.