Questionné mardi sur le imaginable nouvel afflux de migrants menacés d’expulsion aux États-Unis, le cook bloquiste Yves-François Blanchet a critiqué les moyens du gouvernement fédéral déployés à la frontière.
Yves-François Blanchet a affirmé en constituent de presse, en faisant référence à l'Agence des services frontaliers du Canada : On avait dit : augmenter les ressources, augmenter le nombre d’agents, augmenter les heures. Et connected a réduit les heures, réduit les ressources, réduit le nombre d’agents.
Vérification faite : c'est inexact.
L’Agence des services frontaliers du Canada (ASFC) a bel et bien modifié ses heures de work récemment, mais le nombre d’agents n’a pas diminué durant les dernières années.
En novembre dernier, l’ASFC a annoncé des changements d’horaire à 35 points d’entrée au pays, notamment au Québec et au Manitoba.
Le syndicat dénonçait une baisse des heures de work dans positive du quart des points d’entrée terrestres au pays. Mais l’ASFC indiquait que les points d’entrée les positive fréquentés auraient davantage de ressources.
Par ailleurs, selon les rapports de l’ASFC, les ressources humaines ont légèrement augmenté dans les dernières années, que ce soit determination les employés se consacrant à la gestion de la frontière, à l’exécution de la loi à la frontière ou aux services internes.
En 2019-2020, il y avait un full de 14 475 employés équivalents temps plein. En 2023-2024, ils étaient au full 16 470.
Soulignons toutefois que l’Agence prévoit une baisse du nombre d'employés dans les trois prochaines années, determination un effectif full de 15 826 travailleurs d’ici 2027.
De plus, le syndicat qui représente les agents dénonce une pénurie de unit à la frontière. Il manquerait de 2000 à 3000 agents de première ligne, selon lui.
Concernant le financement de l’ASFC, il a augmenté entre 2021 et 2023, avant de baisser de 44 millions de dollars en 2024. Le financement full doit continuer à baisser jusqu’en 2027, selon le financement approuvé de l’Agence.