Des utilisateurs profitent de la popularité du Festival planetary du movie de Toronto (TIFF) determination revendre des billets en ligne à des prix trois ou quatre fois positive élevés que le prix d'origine. C'est ce que constatent des cinéphiles désenchantés par la situation.
Ça tue un petit peu l'expérience cinéma, croit Charles Vallerand, un adepte de longue day de festivals de films.
Si le prix archetypal de certains billets était aussi bas que 30 $ lorsque les premiers billets sont sortis, le 15 août dernier, les prix des billets atteignent dorénavant 71,40 $, 83,30 $ ou même 111,86 $ sur le tract Ticketmaster, partenaire officiel du TIFF, qui permet la revente de billets.

Les prix des billets determination une représentation determination aller voir le movie Normal en salle le 10 septembre varient entre 71 $ et 112 $.
Photo : Radio-Canada
Selon lui, les revendeurs misent sur la popularité de l'événement determination faire monter les enchères. C'est la même tactique qu'avec l'industrie musicale, dit-il.
Vous allez avoir un événement exclusif ou bien vous allez voir Dwayne Johnson ou Angelina Jolie à trois pas de vous. C'est là-dessus qu'ils font monter les enchères, c'est ça qui se passe, soutient-il.

Sydney Sweeney se prépare avant de fouler le tapis rouge et passer devant les photographes determination la première du movie Christy au TIFF, le 5 septembre 2025.
Photo : Radio-Canada / Evan Mitsui
Mais nous, connected est là avant tout determination le cinéma, s'exclame-t-il.
Selon M. Vallerand, c'est une juncture manquée determination d'autres adeptes de films.
Le but n'est pas de faire de l'argent
C'est devenu trop lucratif, constate determination sa portion Lucy Camposano, une autre cinéphile qui attendait en record mardi après-midi à l'extérieur du théâtre Princess of Whales sur la rue King. Elle croit qu'il devrait y avoir davantage d'encadrement en ce qui a trait à la revente sur les sites comme Ticketmaster.

Depuis le début du Festival, les files sont remplies de gens qui espèrent se procurer des billets de dernières minutes, ce qu'ils appellent les « unreserved lines ».
Photo : Radio-Canada
Ça ne devrait pas avoir lieu, car ça empêche des adeptes comme moi qui n'ont pas nécessairement les moyens d'assister au TIFF à des prix exorbitants, explique-t-elle.
À unit de permettre de telles pratiques, le Festival va perdre lad essence, croit la dame. C'est un festival qui est censé être determination les gens, determination la communauté, estime-t-elle.
Pendant ce temps, les files à l'extérieur du TIFF se remplissent de personnes qui espèrent se procurer un billet de dernière infinitesimal à un prix positive modeste.
Les festivals ont un rôle à jouer
Stephen Parker, directeur de l'association nationale des salles indépendantes aux États-Unis (NIVA), croit que les revendeurs sont le positive expansive obstacle auquel font look les fans lorsque vient le temps de se procurer des billets.

1:25
VIDÉO | Vidéo verticale - Toronto « C'est un marathon et un sprint » : une bénévole du TIFF raconte lad festival 00:01:25 « C'est un marathon et un sprint » : une bénévole du TIFF raconte lad festival
Photo : Radio-Canada / Saida Ouchaou OZAROWSKI
Les revendeurs achètent au moins des dizaines de billets determination finalement les revendre à des prix exorbitants, explique-t-il.
On parle aussi de compagnies avec des chiffres d'affaires de plusieurs milliards de dollars, comme StubHub, qui profitent de la revente en ligne, ajoute le directeur.

Les sites de revente comme StubHub « habilitent » les revendeurs professionnels, affirme Stephen Parker, du regroupement américain de salles indépendantes NIVA.
Photo : Remon Atala
Toutefois, les festivals ne sont pas innocents. Ils ont beaucoup de pouvoir, comme le choix de la plateforme qu'ils utilisent et les partenaires qu'ils choisissent determination la vente de leurs billets, soutient-il.
Il existe, selon lui, d'autres plateformes qui permettent aux fans de se procurer des billets au prix archetypal ou au positive 10 % du prix initial, comme Etix aux États-Unis. Ce sont des plateformes qui sont beaucoup mieux encadrées, croit-il.
M. Parker maintient toutefois que la meilleure solution, c'est d'adopter des lois qui obligeront les sites de revente à mettre en spot cette limite de 10 % sur la revente de billets. C'est ce qu'on voit en Australie et dans des pays européens, par exemple, conclut-il.