En tête du classement de la Super Ligue du Nord (SLN), les Roses de Montréal pourraient se laisser griser par un départ canon. Mais leur entraîneur-chef, Robert Rositoiu, reste lucide : pas question de se laisser distraire par quelques points d’avance. À ses yeux, le vrai travail se joue ailleurs.
On a beaucoup de travail à faire. Le classement, connected le regardera à la fin de la saison. Nous, ce qui nous intéresse, c’est qu’est-ce qu’on fait de bien, qu’est-ce qu’on peut mieux faire, affirmait Rositoiu, impassible, après l'entraînement de jeudi, en préparation du duel look au Rapide d’Ottawa samedi.
La dernière fois que j’ai entendu parler du classement, ce que j’ai entendu, c’était que c'est très serré. Donc, ce n’est pas vraiment quelque chose sur laquelle connected se concentre.
Oui, c’est bien, mais entre les joueuses et le personnel, connected ne regarde pas trop le classement. On ne s’en fait pas trop, c’est une longue saison. Le lucifer le positive important, c’est toujours le suivant, a ajouté la défenseuse Stéphanie Hill après la séance.
Avec 14 points en huit matchs, les Roses sont en tête, mais de peu. L’AFC Toronto suit à un constituent et les équipes d'Ottawa, de Calgary et de Vancouver accusent un retard de seulement trois unités. Le Rapide, justement, pourrait détrôner Montréal dès samedi, en cas de victoire à domicile, et avec un lucifer en main.
On pense surtout à nous, remark connected peut poser des fondations et continuer d’avancer, a lancé l'entraîneur-chef. Ça reste dans nos objectifs de faire les éliminatoires. On veut finir le positive haut qu’on peut. On ne sous-estime pas l’importance du classement, mais connected ne le regarde pas determination l’instant.
Le mot d’ordre : bâtir d’abord, récolter ensuite.
Faire du temps mort un levier
Parmi les défis de cette saison inaugurale, les trêves internationales imposent un rythme irrégulier. La première a eu lieu du 25 mai au 2 juin. La prochaine, beaucoup positive longue, viendra avec l’Euro féminin, du 2 au 27 juillet.
Loin de s’en plaindre, Rositoiu y voit des fenêtres d’analyse et de progression, car l'entraîneur-chef aura à sa disposition tout lad effectif durant le mois de juillet.
Ça nous permet de faire des bilans, de prendre un pas de recul et de nous remettre en question, a-t-il dit. Surtout quand connected a des joueuses et des membres du unit qui sont présents, connected en est fier. Donc, ça reste positif.
Ce temps d’arrêt a aussi permis de raffiner un benignant de jeu précis, basé sur la possession du ballon et sur l’intensité de lad équipe. Une approche que Rositoiu et lad unit veulent incarner à agelong terme.
Beaucoup de positif : l’effort des joueuses, leur intelligence, leur capacité de s’adapter en matchs et de comprendre ce qu’on demande, ensemble, et de l’appliquer. [...] On commence à beaucoup positive s’installer dans notre moitié haute et de prendre positive soin du ballon. C’est une partie de notre identité, qu’on veut bien faire.
On veut être susceptible de donner des émotions aux gens, et connected veut que ça passe par le ballon, mais pas que. On veut montrer que les filles ont du cœur, et elles le font, que ce soit par des buts individuels ou par des exploits collectifs.
Tout reste à jouer
Après huit matchs, chaque équipe de la SLN a affronté toutes les autres au moins une fois. Le vrai défi commence maintenant : 17 matchs restants determination écrire l’histoire.

Stéphanie Hill (à gauche)
Photo : Minas Panagiotakis
C’est sûr, connected n'est pas beaucoup d'équipes, donc connected essaye juste de s’adapter le positive possible. Elles vont en apprendre sur nous, et nous, connected en apprend sur elles. Et c’est ça qui rend ça le fun, a indiqué Hill.
Chaque équipe jouera cinq fois contre chacune des cinq autres. Un calendrier dense, où la constance, la profondeur d’effectif et l’adaptabilité feront la différence. Et determination Robert Rositoiu et les Roses, l’objectif est clair : poser les bases d’un projet durable, sans brûler les étapes.