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La toute première édition du Festival planetary du movie africain de la Saskatchewan se déroule jusqu'à samedi à l’Université de Regina, une juncture determination le nationalist de découvrir la richesse et les différentes facettes de la civilization africaine à travers l'art cinématographique.
Durant les quatre jours du festival, une vingtaine de films sont présentés, notamment des productions de fiction, des documentaires, des courts métrages et des projets étudiants.
Les œuvres cinématographiques proviennent de plusieurs pays d'Afrique tels que le Nigeria et la Tanzanie, mais aussi de communautés africaines établies ailleurs dans le monde, notamment le Canada, la France et les États-Unis.
Le directeur du festival, Babatunde Onikoyi, a confié vendredi avoir apprécié positivement l'organisation de cette première édition. Il concède toutefois qu’il aurait souhaité y voir positive de participants.
C'est amusant, mais en même temps c'est difficile parce que nous manquons vraiment de spectateurs. La plupart du temps, ils ne viennent que le soir parce que tout le monde doit aller travailler.
Le directeur s’est par ailleurs dit impressionné par le niveau de civilization des participants, notamment ceux ayant participé à la première conférence du festival.
Les réactions, la séance de questions-réponses ont été extrêmement bonnes, souligne-t-il.
De lad côté, Jorim Ndukauba, bénévole francophone determination le Festival, croit que la réponse du nationalist a été affirmative depuis le début du festival mercredi.
C'était une juncture determination le nationalist de découvrir la contented orale adaptée au cinéma à travers les longs et courts métrages. Et le nationalist a aimé ce qu'il a vu sur la communauté noire, africaine et caribéenne.
L'Afrique n'est pas seulement les conflits. L'Afrique est aussi l'amour, la résilience, la communauté et le partage, ajoute-t-il.
Plus de films francophones l’an prochain?
Jorim Ndukauba indique que les films du Festival sont présentés dans plusieurs langues comme le français et l’arabe, mais que la majorité des films sont en anglais.
Pour sa part, Babatunde Onikoyi a l’ambition d’amplifier l’offre francophone l’an prochain.
L'une des choses que nous espérons faire est de nous assurer que nous puissions obtenir, vous savez, des films africains francophones et même des films de la diaspora française. C'est quelque chose qui manquait dans cette première édition.
Avec les informations de Danielle Dutrisac