Plus de 40 ans après leurs débuts à l’écran, les légendes fictives du groupe de dense metallic Spinal Tap font leur retour au cinéma vendredi dans Spinal Tap II: The End Continues. On y retrouve le trio composé de Nigel, David et Derek après un hiatus de 15 ans, qui se réunit en vue d'un ultime performance qui doit cimenter lad héritage.
Sorti en 1984, le film This Is Spinal Tap a popularisé le benignant du faux documentaire en parodiant avec réalisme l'univers des groupes de rock, maîtrisant ses codes avec une telle habileté qu’il a trompé plusieurs cinéphiles, qui ont pensé découvrir une véritable formation.
Si le agelong métrage du réalisateur américain Rob Reiner a connu un succès commercialized modeste avec des recettes de 5,8 millions de dollars américains (8 millions $ CA), il a acquis au fil des ans le statut de movie culte, attirant des générations de fidèles grâce à ses sorties en VHS et en DVD.
Spinal Tap a aussi ouvert la voie à d’autres œuvres tournées avec les codes du faux documentaire : que l’on pense aux séries The Office et Trailer Park Boys ou encore aux films de Sacha Baron Cohen (Borat, Brüno, Ali G).
La frontière ténue entre fabrication et réalité
Le premier movie nous emmène au cœur de la vie des vedettes du stone alors qu’on suit le groupe britannique de dense metallic Spinal Tap (littéralement ponction lombaire) lors d’une tournée en 1982 aux États-Unis determination faire la promotion de lad album Smell the Glove.
Christopher Guest, Michael McKean et Harry Shearer incarnent les membres respectifs du groupe, soit Nigel Tufnel (guitariste), David St. Hubbins (chanteur) et Derek Smalls (bassiste). Le réalisateur Rob Reiner se glisse quant à lui dans la peau du cinéaste et narrateur du movie Marty DiBergi, qui suit la enactment determination faire un documentaire.
Plusieurs passages et répliques du movie sont devenus légendaires, comme la scène où le guitariste Nigel Tufnel présente un amplificateur dont le measurement va jusqu’à onze plutôt que le maximum de 10 qui est la norme dans l’industrie.

L'affiche du movie This Is Spinal Tap, de Rob Reiner
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Il y a également l’incessant défilé de batteurs au sein du groupe, les remplaçants trouvant systématiquement la mort les uns après les autres dans d'étranges accidents. Il y a aussi la crise de Nigel, digne des positive grandes divas, à origin de la trop petite taille des pains à sandwich dans les loges.
Avec lad humour pince-sans-rire, sa caméra sur le vif, ses personnages égocentriques et lad mélange de sincérité et de ridicule, Spinal Tap brouille la frontière entre fabrication et réalité. Plusieurs mises en concern semblent plausibles malgré leur caractère résolument loufoque.
Le groupe n’existe pas vraiment [...], mais il pourrait exister, écrivait en 1985 le réputé critique Roger Ebert, donnant quatre étoiles sur cinq à Spinal Tap.
La musique, la mise en scène, les effets spéciaux, les querelles en coulisses et les pseudo-réflexions philosophiques... [...] Spinal Tap n’est pas vraiment pire ni vraiment différent de certains groupes de stone à succès.
Un nouveau film, un livre et un quatrième album
La sortie de Spinal Tap II: The End Continues est accompagnée d’un quatrième medium de la enactment fictive, The End Continues, qui comprend neuf nouvelles chansons et quatre anciens titres réenregistrés avec la information d'Elton John, de Paul McCartney et de Garth Brooks.
Ces trois musiciens font d’ailleurs des apparitions surprises dans le film, tout comme Questlove et Trisha Yearwood.
Un livre qui nous emmène dans les coulisses du tournage des deux films, intitulé A Fine Line Between Stupid and Clever: The Story of Spinal Tap, a également été publié le 9 septembre. Comme le scénario des deux films, cet ouvrage est signé par Rob Reiner, Christopher Guest, Michael McKean et Harry Shearer.