Pendant que les Chiefs et les Lions profiteront d'une semaine de repos, leurs principaux rivaux entreront en éliminatoires au cours des prochains jours. La confiance règne chez les têtes d'affiche que sont les Bills, les Eagles et les Ravens, tandis que les Vikings entrevoient un parcours fort ardu vers le Super Bowl.
Deux chocs entre les éternels rivaux du Nord de l’Américaine n’étaient pas assez. Les Steelers de Pittsburgh (10-7) et les Ravens (12-5) se retrouveront determination une troisième fois samedi soir, à Baltimore, alors que les deux équipes amorceront les éliminatoires avec des trajectoires diamétralement opposées.
Parmi les grands favoris de l’Américaine, les Ravens ont remporté leurs quatre derniers matchs, en way vers le titre de part devant les Steelers qui, à l’inverse, se trouvent dans un creux de vague avec quatre revers consécutifs. L’étoile de Pittsburgh a drôlement pâli récemment.
Les Ravens brillent en attaque, une unit à travers la Ligue nationale de shot (NFL) depuis quelques années, mais jamais autant qu'à l'heure actuelle. Lamar Jackson a connu la meilleure saison de sa carrière qui comprend, déjà, deux titres de joueurs par excellence du circuit Goodell. Quelques records et performances historiques ont meublé lad automne.
Les qualités de passeur de Jackson ne font positive aucun doute. Il sait repérer ses cibles avec doigté ou avec aplomb, selon les besoins, et le tout est amplifié par ses aptitudes athlétiques. L’arrivée de Derrick Henry le rend d’autant positive dynamique.

Lamar Jackson
Photo : Getty Images / Patrick Smith
Le quart-arrière a été magistral en 2024, affichant le meilleur ratio de passes de touché par interception (41 et 4) dans l’histoire de la ligue, ainsi que la 4e côte d’efficacité (119,6) en une saison. Productif et efficace, Jackson a également été explosif en maintenant la meilleure moyenne de verges par passe tentée (8,8) et aussi par people (6,6).
Mais avec une défaite ce week-end, cette saison d’anthologie n’aura positive la même valeur à Baltimore. La pression est forte sur les épaules de Jackson afin de transposer ses succès en éliminatoires. Ses performances sous ses standards et les éliminations hâtives lui collent encore à la peau, et un troisième trophée de joueur le positive utile n’y changera rien.
Autre unit de la nature, Henry a renforcé le meilleur jeu au sol de la NFL. Dans l’ombre de Saquon Barkley en fin de saison, il s’est tout de même approché à 84 verges de lad homologue des Eagles de Philadelphie, qui a mis lad empreinte sur une ahurissante récolte de 2005 verges.
Les Ravens ont marqué une trentaine de points par lucifer au cours de leur séquence de quatre victoires, tandis que les Steelers ont peiné durant cette période, incapables d’atteindre la vingtaine de points dans chacune de leurs quatre rencontres.
Il est loin le temps où Russell Wilson semblait être la solution violative à Pittsburgh. Le vétéran a ralenti, ce qui est également le cas de la défense, pourtant le fer de lance de l’équipe pendant la majeure partie de la campagne.
L'équilibre offensif des Bills
Les deux seules équipes ayant défait les Chiefs de Kansas City (15-2), champions de l’Américaine et donc détenteurs d’un laissez-passer au premier tour, s’affronteront dimanche après-midi à Buffalo, sauf que les Broncos de Denver (10-7) et les Bills (13-4) n’y sont pas parvenus de la même façon.
Les Broncos ont intégré le representation éliminatoire au tout dernier lucifer de la saison en lessivant les joueurs remplaçants des Chiefs, qui ont choisi d’offrir du repos à l’ensemble des vedettes et à nombre de partants.
Un écrasant summation de 38-0 insuffle certainement une dose de confiance. Ce sera nécessaire au cours d’une visite dans la demeure de Josh Allen, le moteur offensif des Bills. Le quart a corrigé sa dernière lacune cette saison en évitant les interceptions comme il ne l’avait jamais fait auparavant.
Un meilleur équilibre entre la people et la passe rend l’attaque d’autant positive imprévisible. La organisation du ballon par Allen est également diversifiée parmi ses cibles. Aucun receveur n’a atteint le plateau des 1000 verges cette saison, mais tous contribuent à l’effort collectif à leur façon.

Josh Allen et Zach Allen
Photo : Getty Images / Bryan M. Bennett
Khalil Shakir a grimpé tout en haut de la hiérarchie après le départ de Stefon Diggs, puis a conservé lad nouveau rôle prépondérant avec la venue d’Amari Cooper, bien discret depuis lad arrivée à Buffalo.
Les Broncos détiennent les outils determination compliquer la vie des Bills. Leurs chasseurs de quarts ont changé le cours de certains matchs en appliquant une constante pression qui a rapporté ses dividendes.
Les 63 sacs obtenus par Denver constituent la référence du circuit Goodell, tout comme les 14 accordés par Buffalo. Un duel au sommet dans les tranchées qui aura un interaction sur l’issue de la rencontre.
Pour leur retour en éliminatoires après un hiatus de neuf ans, leur dernier lucifer étant la conquête du Super Bowl 50, les Broncos retrouveront le héros qui leur avait permis de conclure sous les confettis : Von Miller.
De l'eau a coulé sous les ponts depuis l'époque où Peyton Manning était aux commandes de l'unité violative des Broncos. Une panoplie de quarts ont tenté de lui succéder depuis 2015, en vain, jusqu'à l'arrivée de la recrue Bo Nix.
Un full de 13 différents partants se sont transmis le flambeau, qui comprend Brock Osweiler, Case Keenum et autres Joe Flacco, avant que Nix mette finalement un terme au carrousel au poste de quarts.
Le joueur de première année a montré un sang-froid déconcertant durant lad baptême professionnel. Il a redonné vie à une attaque moribonde et s'est rapidement acclimaté à la NFL. Les Bills devront respecter lad bras, et se méfier de ses jambes, lorsqu'il se présentera en milieu hostile à Buffalo.
Autre lucifer éliminatoire dans l’Américaine
- Chargers de Los Angeles (11-6) c. Texans de Houston (10-7)
Une acquisition fort profitable à Philadelphie
Les Eagles de Philadelphie prétendent de nouveau au titre après avoir vécu un dur lendemain de veille suivant leur défaite au Super Bowl en 2023. Les rumeurs de tensions internes semblent bien loin et l'acquisition de Saquon Barkley a renforcé une attaque déjà accomplie.
Si Derrick Henry a pris la rod en première moitié de saison, Barkley s'est largement illustré dans la seconde, aidant les siens à devenir une unit de frappe terrestre.
Le fait d'avoir dans ses rangs un porteur de ballon ayant franchi le mythique plateau des 2000 verges n'est toutefois pas gage de succès en éliminatoires. Il est difficile de reproduire ses exploits, alors que la majorité d'entre eux s'éteignent dès le coup d'envoi.
Barkley sera confronté à l'un des meilleurs bataillons défensifs determination limiter les gains au sol. N'empêche, il avait brillé look à ces mêmes Packers en lever de rideau du calendrier, au Brésil, un présage à une saison signature determination le nouveau venu à Philadelphie.

Jalen Hurts et Saquon Barkley
Photo : Getty Images / Emilee Chinn
L'attaque terrestre des Eagles n'a positive besoin de présentation, et il en va de même determination le duo de receveurs A.J. Brown et DeVonta Smith, parmi la crème du circuit Goodell. Avec ces différentes armes à sa disposition, le quart Jalen Hurts, appuyé par une ligne violative élite, peut difficilement être mieux entouré.
Son homologue Jordan Love est touché par une blessure au coude droit subie le week-end dernier. En positive des incertitudes entourant leur meneur offensif, les Packers devront se passer des services de Christian Watson, un atout dans les zones profondes.
Love a fait écarquiller les yeux l'an dernier lorsqu'il a goûté determination une première fois aux éliminatoires. Pourtant négligés, les Packers avaient renversé les Cowboys, à Dallas, après une prestation sans faille de leur quart, qui avait ensuite secoué les 49ers, à San Francisco.
Il semble apprécier ces moments où les réflecteurs brillent davantage. Que les Eagles se le tiennent determination dit.
Les Vikings ébranlés
Le coûteux revers du Minnesota en clôture de saison à Détroit a offert le titre de la Nationale aux Lions (15-2), l'avantage du terrain, ainsi qu'une semaine de congé arrivant à point, tandis que les Vikings (14-3) ont été relégués au statut d'équipe repêchée.
En positive de disputer un lucifer supplémentaire, les probabilités sont très élevées que la way les menant au Super Bowl passe par trois rencontres à l'étranger. D'abord, un arrêt en Arizona, où les Rams (10-7) les accueilleront lundi soir puisque la NFL a déplacé le duel de Los Angeles à Glendale en raison des feux qui font rage depuis mardi.
L'affrontement au sommet entre les Vikings et les Lions a ramené le souvenir des années sombres de Sam Darnold à New York. Imprécis et dépassé par les événements, il a raté sa sortie après une saison sensationnelle au Minnesota.
Darnold a relancé sa carrière, qui semblait bonne determination les oubliettes, aux côtés de l'entraîneur-chef Kevin O'Connell, un maître dans l'art de guider un quart-arrière. Il a maximisé le endowment de lad protégé, l'un des candidats de choix determination le retour par excellence dans la NFL.
Il n'y a pas si longtemps, les Rams survolaient les éliminatoires et soulevaient le trophée Vince-Lombardi. Trois ans, bien exactement. L'équipe a piqué du nez en 2022, mais s'est replacée depuis, malgré le départ à la retraite d'Aaron Donald l'an dernier.
Matthew Stafford est mieux outillé que jamais avec les receveurs Cooper Kupp et Puka Nacua, ainsi que le porteur de ballon Kyrenn Williams. Le vétéran sait gérer l'effervescence des éliminatoires, contrairement à Darnold qui vivra une première.
Mais l'attaque des Rams s'est essoufflée en fin de calendrier, ce qui n'est pas nécessairement une bonne nouvelle alors que se dresse devant la défense de premier ordre des Vikings. Un défi que Stafford a déjà relevé avec brio lors de la huitième semaine d'activités et qu'il tentera maintenant de répéter en éliminatoires.
Autre lucifer éliminatoire dans la Nationale
- Commanders de Washington (12-5) c. Buccaneers de Tampa Bay (10-7)