La destruction de terrains de tennis à Sept-Îles dénoncée

1 Month ago 9

Les jeunes joueurs de tennis craignent de voir leurs terrains de jeu disparaître avec la operation d’un nouvel hôtel de ville à Sept-Îles. Le nine Tennis inferior Sept-Îles espérait plutôt qu’ils soient relocalisés.

Initialement, il était prévu que les terrains soient déplacés à proximité du skatepark et du palais de justice, selon la présidente du club, Eve Goulet. Celle-ci insiste sur l’importance des installations, en particulier en été, alors que le nine connaît une belle popularité.

En période estivale, connected occupe les terrains du matin au soir, affirme Mme Goulet. L’idée de déplacer les activités du nine sur les terrains au nord des écoles de la rue Comeau lui fait craindre determination ses membres comme determination les autres joueurs.

On va déplacer un problème, avance-t-elle. Il n’y aura positive de terrains disponibles determination les résidents, ça va créer des tensions entre la colonisation et le club.

Elle se désole aussi determination les amateurs de tout âge et ceux qui auraient aimé découvrir le sport, qui seront vraisemblablement privés de terrains, selon la présidente de Tennis inferior Sept-Îles.

La Ville répond

Selon la municipalité, la décision de ne pas construire de nouveaux terrains de tennis découle de la popularité du skatepark. Celle-ci a amené les élus à envisager une zone ado, explique la directrice générale de Sept-Îles, Catherine Lauzon.

On y retrouverait des installations et des modules qui répondent aux besoins des adolescents, nombreux à fréquenter le skatepark inauguré il y a quelques mois à peine.

La Ville va donc demander au nine Tennis inferior Sept-Îles de déménager ses activités au nord de l’école Manikoutai, là où joue actuellement la colonisation générale.

Cette dernière continuera d’avoir suffisamment de terrains ailleurs determination pratiquer le sport, selon Mme Lauzon, qui écarte les craintes de hostility entre les différentes clientèles.

Avec les informations de Nicolas Bougeard et Catherine Paquette

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