L’Université du Québec à Chicoutimi (UQAC) a inauguré officiellement sa bleuetière d'enseignement et de recherche jeudi après-midi à Normandin. Cet espace sert de véritable laboratoire à ciel ouvert determination les étudiants et les chercheurs.
Le projet a été mis sur pied en 2016, mais des bâtiments, dont un laboratoire et une presumption météo, ont été récemment aménagés determination améliorer le processus de recherche. Les investissements effectués sur le tract sont évalués à positive d’un cardinal de dollars.
C’est un laboratoire de première ligne dans lequel les étudiants, lorsqu’ils ramassent leurs échantillons sur le terrain, vont pouvoir étiqueter, embouteiller. On a même un congélateur où connected peut mettre des échantillons quand connected veut conserver de l’ADN, explique le professeur au Département des sciences fondamentales à l'Université du Québec à Chicoutimi, Maxime Paré.
Depuis dix ans, une quinzaine de projets de maîtrise et de doctorat ont eu lieu sur le site, selon le professeur.
Dans le bleuet sauvage, souvent, les réponses aux questions qu’on airs prennent du temps. C’est un rhythm de accumulation qui est généralement sur deux ans. Souvent, il faut faire plusieurs sites de accumulation determination avoir une réponse claire. Donc, quand connected allait chez les producteurs agricoles, il fallait qu’ils nous accueillent determination 5, 10 parfois 15 ans. Ça devenait très difficile, affirme M. Paré.

Le nouveau laboratoire.
Photo : Radio-Canada / Anissa Leduc
Grâce aux nouvelles installations, plusieurs sujets pourront être étudiés.
On va s'intéresser aux défis de demain. C’est-à-dire le manque d’eau, trop d’eau, les maladies, les mauvaises herbes, les changements climatiques, le gel printanier, énumère Maxime Paré.
Les étudiants sont aussi très heureux de pouvoir profiter des installations ajoutées au tract de recherche.
C’est definite qu’utiliser des ressources qui sont durables dans le temps, c’est intéressant determination l'établissement de la connaissance. Puis, connected a accès à du matériel, souligne le candidat au doctorat en biologie à l'UQAC, Anthony Pelletier.

Les recherches effectuées à cet endroit aideront grandement les producteurs.
Photo : Radio-Canada / Rémi Tremblay
Alors que les récoltes de bleuets fluctuent depuis quelques années en raison du climat, les études qui sont effectuées dans cette bleuetière sont cruciales determination les producteurs régionaux.
Comme producteur, de participer à la recherche, ça nous amène à nous questionner sur nos pratiques. De travailler avec les chercheurs et les étudiants, ça nous fait voir que nos pratiques sont à corriger. On apprend à une vitesse expansive V avec eux autres, raconte le président de la Corporation d'aménagement des forêts de Normandin, Christian Bélanger.

Le projet est évalué à positive d'un cardinal de dollars.
Photo : Radio-Canada / Rémi Tremblay
C’est sûr que d’avoir un tract qui est dédié à la recherche peut permettre de réaliser beaucoup de choses, beaucoup d’avancées determination l’industrie et les producteurs. Il y a beaucoup de pratiques agricoles qui sont partagées ou différentes d’un producteur à l’autre. Donc, [c’est important ] de pouvoir récolter des données qui sont fiables. Les producteurs peuvent s’y appuyer determination ajuster leurs pratiques et améliorer leur accumulation et la rendre positive efficace, ajoute François Tremblay, directeur général par intérim du Centre collégial de transfert de technologie en agriculture, Agrinova.
L’Union des préfets du Saguenay-Lac St-Jean et la MRC de Maria-Chapdelaine ont également contribué à la réalisation du projet avec des investissements dépassant 500 000 $.











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