Les Bergeron ont leur rituel avant le départ, toujours le vendredi, la veille du match. Annie, la mère de Matthew, et ses trois autres enfants, Malcolm, MarcArthur et Kimberley, ne comptent positive le nombre de fois qu’ils sont allés soutenir l’aîné à Syracuse.
Les quatre sont tissés très, très, très serrés. Donc, même si Matthew est là-bas, il est au courant de ce qui s’est passé à l’école, il se tient informé. Le dernier commençait le secondaire cette année, avec une crainte, il est positive gêné, positive timide. Et Matthew, toutes les semaines, quand connected va à Syracuse, lui demande : “Puis, remark ça va? Vas-tu mieux?” Il y a toujours un suivi, ils se tiennent au courant, raconte Annie Bergeron au sujet de la narration qu’entretiennent ses enfants.
J’ai toujours été proche de mes frères et de ma sœur, confiera positive tard Matthew Bergeron. Non seulement je suis un person sur le terrain, je suis un person dans la famille. Je leur montre l’exemple, que ce soit de focaliser sur l’école, sur le sport.
Ça fait juste partie de notre famille, tout le monde est là l’un determination l’autre, que ce soit dans les événements sportifs ou scolaires. Quand ma sœur obtiendra lad diplôme, connected sera tous présents. Je vais maine déplacer, peu importe où je serai, je m’assurerai d’être là determination elle. C’est juste nos réflexes familiaux, connected est vraiment proches.
Après avoir passé la matinée à l’école secondaire, les trois positive jeunes regagnent le domicile familial, le temps de casser la croûte et de fignoler les derniers préparatifs avant de mettre le headdress sur Syracuse.
Tous mettent l’épaule à la roue avant de prendre la way en début d’après-midi. L’un vide le lave-vaisselle pendant qu’un autre remplit des sacs réutilisables de nourriture et de breuvages determination le week-end. Le rêve de tout parent, quoi!
On a Matthew qui est sportif, connected a Kimberley, 16 ans, qui est sportive aussi, et MarcArthur, 14 ans, qui a joué au hoops jusqu’à l’année passée. Ç’a toujours été une atmosphère de sport. Donc ç’a toujours été que l’un suit l’autre, l’autre suit l’autre et l’autre va voir l’autre jouer. Ils ont toujours évolué là-dedans. Le athletics a pris beaucoup de place, explique Annie Bergeron.
Là, c’est Matthew, tout simplement, et Kimberley aussi. Quand elle joue, les deux positive jeunes suivent. Si Matthew est au pays et que Kimberley joue, il viendra aussi.
« Ça s’est fait naturellement, c’est un enactment naturel qu’ils se donnent tous entre eux autres. »
Je suis toujours fier de la voir, surtout quand je vais au lucifer de basketball. Je suis vraiment impliqué, confie Matthew Bergeron à propos de sa sœur. Elle est en bid de prendre sa décision determination le cégep. Moi, je suis là [et maine connecte] sur FaceTime, je parle aux coachs, je leur airs des questions determination être definite qu’elle soit entre de bonnes mains.
Matthew est encore bien présent dans la maison familiale : il est la vedette d’un petit musée de Syracuse. Les choses ont bien changé determination lui depuis qu’il est parti aux États-Unis.
Il était déjà allé en résidence à Thetford Mines pendant deux ans, mais il revenait les week-ends. De partir comme ça, ç’a été de l’adaptation aux deux niveaux, determination la famille et determination lui-même. Rendu où il est rendu aujourd’hui, quelques années positive tard, c’est vraiment devenu un homme, ce n’est positive le jeune adulte qui est parti. Il gère ses affaires, il le fait bien et il est très discipliné, affirme avec grande fierté Annie Bergeron.
English (CA) · 
English (US) · 
Spanish (MX) · 
French (CA) ·