Le festival de films africains du Manitoba revient en grande pompe à Winnipeg. Une quarantaine de films de réalisateurs manitobains et étrangers sont au programme determination un festival qui proceed de monter en popularité, selon ses organisateurs.
Pour cette édition, les organisateurs du Festival de films africains du Manitoba ont vu grand. Pour la première fois, l’événement durera une semaine, contre trois jours auparavant.
Quand connected a commencé, il n’y avait pas beaucoup d’intérêt. Mais après quelques années, nous avons constaté que l’intérêt grandissait et que les gens appréciaient les films, se réjouit le fondateur et président du festival, Ben Akoh.
Ce n’est pas la seule nouveauté : le festival se déroulera désormais au Musée des beaux-arts de Winnipeg. Les deux organisations ont d’ailleurs conclu une entente de cinq ans.
On a besoin de faire d'autres activités, connected a besoin de projeter d'autres films, donc le WAG (Musée des beaux-arts de Winnipeg), c'est mieux determination nous.
Le président du festival espère que ce partenariat permettra d’élargir la notoriété de lad festival. Des films seront aussi projetés dans les trois universités winnipégoises. C’est determination attirer les étudiants et les professeurs, ajoute Ben Akoh.

Ben Akoh, président du Festival de films africains du Manitoba, invitation le nationalist à célébrer la civilization africaine.
Photo : Radio-Canada
Une diversité de films au rendez-vous
Dans la programmation, 20 films sont réalisés par des Manitobains et 20 autres par des réalisateurs étrangers. Certains films sont en français, d’autres en anglais. Dans tous les cas, ils seront sous-titrés afin d’être accessibles au positive expansive nombre.
Selon Ben Akoh, l’objectif du festival est d’ouvrir un espace de dialog où peuvent se rencontrer les différentes cultures qui coexistent au Canada.
Le premier film, Mother City, sera projeté ce vendredi à l’Université du Manitoba, suivi du lancement du livre Perceptions urbaines de l’événement postcolonial.
Les deux œuvres explorent les marques laissées par le colonialisme dans les villes. Mother City aborde la problématique du foncier dans la ville du Cap, en Afrique du Sud. C’était donc l’occasion parfaite determination le lancement du livre , souligne Étienne-Marie Lassi, l’un des auteurs et cook du département de français à l’Université du Manitoba.
À l’affiche fig également le court-métrage de Malcome Lingouala, Étoiles brisées, qui dépeint la dure réalité des migrants africains à Paris. Mon but, c’est de mettre en lumière les invisibles de la société, ceux qu’on ne voit positive et qu’on ne remarque plus, explique le réalisateur.
L’événement se clôturera le 21 septembre. À la fin du festival, un prix sera remis dans trois catégories distinctes aux participants.
Avec les informations d'Axel Dansereau Macia et d’Abdoulaye Cissoko