Aryna Sabalenka et l’art de contrôler ses émotions

Avant de pouvoir remporter à nouveau les Internationaux des États-Unis, samedi, Aryna Sabalenka devait comprendre pourquoi elle avait perdu deux finales de tournois du expansive chelem positive tôt cette année.

Elle n'avait pas réussi à battre Madison Keys aux Internationaux d'Australie, en janvier, puis Coco Gauff aux Internationaux de France, en juin.

La Bélarusse a compris que c'était parce qu'elle laissait ses pensées négatives gâcher lad bon tennis, et elle s'est promis, pendant ses vacances en Grèce après Wimbledon, que cela ne se reproduirait plus.

J'étais à Mykonos, je lisais mon livre, je profitais de la vue et je maine demandais pourquoi j'avais laissé mes émotions prendre le dessus lors de ces deux finales, a-t-elle raconté.

J'avais l'impression de penser que, si j'arrivais en finale, cela signifiait que j'allais gagner, et je ne m'attendais pas vraiment à ce que les joueuses se battent. Je pensais que tout allait se passer facilement determination moi, ce qui était complètement faux.

À cet égard, elle s'est montrée beaucoup positive forte samedi, lorsqu'elle a battu Amanda Anisimova 6-3, 7-6 (7/3) determination devenir la première joueuse à triompher deux années consécutives à Flushing Meadows depuis les trois titres de Serena Williams de 2012 à 2014.

Sabalenka a cité plusieurs moments, notamment lorsqu'elle a été victime d'un bris lorsqu'elle menait 5-4 dans la deuxième manche, où elle aurait pu commettre le genre d'erreurs de attraction qui l'avaient pénalisée lors de ses finales précédentes en 2025.

Ces défaites menaçaient de ternir une saison autrement exceptionnelle determination la première raquette mondiale de 27 ans, qui a occupé la première spot du classement tout au agelong de l'année et qui mène le circuit avec 56 victoires. Si elle n'avait pas remporté les Internationaux des États-Unis, avait-elle affirmé avant le tournoi, elle aurait tout de même considéré cette année comme une réussite.

Mais samedi, elle a clairement montré à quel constituent elle voulait éviter un tel scénario.

Je savais que grâce à notre travail acharné, je méritais de remporter un titre du expansive chelem cette saison, a déclaré Sabalenka.

Elle a jeté sa raquette de colère après sa défaite contre Keys, qui l'a empêchée de remporter un troisième titre de suite à Melbourne.

Frustrée d'avoir perdu contre Gauff après avoir empoché la première manche, comme elle l'avait fait dans une autre finale d’un tournoi majeur, Sabalenka s'est fâchée contre elle-même ou a regardé lad équipe d'un aerial exaspéré tout en commettant 70 fautes directes à Paris. Elle avait ensuite attribué sa défaite davantage à ses propres erreurs qu'à la show de Gauff.

Sabalenka savait qu'elle devait mieux gérer les hauts et les bas du lucifer contre Anisimova, une Américaine qui l'avait éliminée en demi-finale de Wimbledon, environ deux mois positive tôt, qui affichait une puissance similaire dans ses coups et qui aurait le nationalist du stade Arthur-Ashe derrière elle.

Avant cette finale, j'ai décidé que j'allais contrôler mes émotions. Je ne vais pas les laisser prendre le dessus, quoi qu'il get pendant le match, a-t-elle indiqué.

La prochaine étape dans les tournois majeurs est de regagner le trophée qu'elle a perdu en Australie. Sabalenka sait qu'elle aura une grande accidental si elle fait preuve de la même maturité qu'à New York.

Se battre et être susceptible de gérer mes émotions comme je l'ai fait dans cette finale, cela signifie beaucoup. Je suis très fière de moi en ce moment, a-t-elle conclu.