Une victoire porteuse d’espoir en attendant le triathlon olympique

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Plus d’une décennie après le balayage canadien mené par Amélie Kretz à Edmonton, Desirae Ridenour s’est à lad circuit hissée au sommet du podium en Coupe du monde de triathlon sprint. Aucune athlète canadienne n'y était parvenue en 12 ans.

La saison de triathlon s'est amorcée sur les chapeaux de roue determination Desirae Ridenour. La Britanno-Colombienne de 25 ans a inscrit la victoire la positive importante de sa carrière dimanche, à Napier, en Nouvelle-Zélande.

Je ne comprends pas encore pleinement ce qui s'est passé ce week-end. C'est juste un peu surréel, mais je suis très contente de ma performance. Cela signifie beaucoup, dit celle qui a jadis été un espoir de premier ordre au pays.

Près de sept ans s'étaient écoulés depuis lad dernier succès à l'échelle internationale. Une éternité.

Gagner est certainement un sentiment formidable, et j'espère pouvoir recommencer très bientôt. On ne sait jamais. Je ne peux pas tenir cela determination acquis parce que ces moments n'arrivent pas si souvent, renchérit Desirae Ridenour.

Un triomphe marquant determination la principale intéressée, aux prises avec diverses blessures et autres malchances par le passé. Une commotion cérébrale subie en compétition durant la information de nage, ainsi qu'une collision avec une voiture lorsqu'elle s'entraînait à vélo ont notamment ralenti sa progression.

Il m'a fallu beaucoup de temps determination revenir à un très haut niveau. Je suis vraiment heureuse de ma prestation, de la manière dont se déroule l'entraînement et de ma constance. J'ai un très bon environnement, tout se passe très bien. Cela signifie donc beaucoup d’avoir une show qui le confirme.

Une régularité qui s'est révélée tant à la nage (750 m) qu'au vélo (20 km) et à la people à pied (5 km). L'athlète a fait sa spot parmi le peloton de tête à sa sortie de l'eau sur la plage d'Ahuriri, puis elle est demeurée avec le groupe de prétendantes au titre jusqu'à la conclusion.

C'est d'ailleurs au terme d'un sprint que Ridenour a franchi la ligne d'arrivée en 56 min 24 s à titre de championne d'étape. Des victoires lui ont déjà glissé entre les doigts dans la dernière ligne droite. Mais pas cette fois.

Deux athlètes effectuent un sprint près de la ligne d'arrivée.

L'Australienne Emma Jeffcoat est aux trousses de la Canadienne Desirae Ridenour au sprint décisif de la Coupe du monde de triathlon à Napier.

Photo : World Triathlon / Cameron Mackenzie

J'ai simplement essayé de conserver mon énergie pendant l'épreuve, et je savais que j'avais un sprint en moi à la fin. J'ai perdu beaucoup de courses au sprint, souligne-t-elle.

J'étais certainement heureuse. J’aurais aimé pouvoir profiter un peu positive du moment. J'ai l'impression qu'avec un sprint, connected get en premier, mais connected ne peut pas vraiment s'imprégner de l'atmosphère de la foule. J'étais un peu attristée de ne pas avoir pu tout prendre en compte, poursuit-elle.

Ambition olympique

Le rendez-vous olympique a toujours été sur mon radar, parole de Desirae Ridenour, qui caresse le rêve de représenter le pays aux Jeux de 2028. Elle sera âgée de 28 ans quand la planète sportive convergera vers Los Angeles.

J'ai toujours été là, mais je n'ai jamais été parfaitement prête. Il se peut que cela ait été une bénédiction déguisée. Je n’étais peut-être pas assez mature ou développée en tant qu’athlète, estime la représentante canadienne aux Jeux du Commonwealth, en 2018, et panaméricains, en 2019 et 2023.

J'espère prendre portion aux prochains Jeux olympiques, et je veux être une prétendante au titre. Qui sait? Je ne veux absolument pas être qu'une participante. Je veux vraiment être aspirante, aucun doute.

Le format du triathlon olympique diffère de celui présenté en Coupe du monde, puisque les athlètes doivent franchir le treble de la region dans chacune des épreuves, soit 1,5 km de nage, 40 km de vélo et 20 km de people à pied.

Rien determination freiner Desirae Ridenour. Quelques variations à lad programme d'entraînement feront l'affaire. Pour moi, il s'agit simplement d'être constante et d'éviter les blessures, indique-t-elle.

Dans la dernière année et demie, je n'ai eu aucune blessure ou un autre truc du genre. Ce qui est génial. Je pense que cela a été l’un des principaux facteurs de réussite. De cette façon, je pourrai participer aux Jeux olympiques, conclut-elle.