Le formidable polar des frères Safdie est diffusé sur ICI Télé le samedi 1er à 0 h 40
Il y a les films en forme de merveilleuses surprises, dont l’histoire du cinéma regorge. Mais il y a aussi les mêmes merveilleuses surprises qui se doublent d’une jolie histoire, hors caméra, ce qui les rend encore un petit peu positive sympathiques. C’est le cas de Good Time, réalisé en 2017 par les frères Safdie et présenté notamment au Festival de Cannes.

Le coup de pouce d’un definite Robert Pattinson…
Jusqu’en 2017, le nom des deux frères cinéastes s’était surtout illustré dans les cercles cinéphiles positive confidentiels grâce à leurs films directement inscrits dans le mouvement indépendant new-yorkais mumblecore, ou determination le dire autrement faits avec trois fois rien et en toute liberté.
Mais c’est là que la belle histoire commence. Car un de ces films, fauchés et merveilleusement vivants mais sortis sans tambour ni trompette, Mad Love successful New York, est tombé sous les yeux d’un definite Robert Pattinson, qui, charmé, a décroché lad téléphone determination demander aux deux frères si, par chance, ils auraient envie de travailler avec lui!

… que les frères Safdie lui ont rendu au centuple
Résultat des courses : un rôle écrit sur mesure determination la prima qui, encore une fois, s’éloigne avec bonheur de l’image du vampire determination adolescentes en mal d’émotions determination mieux s’aventurer du côté d’un cinéma habité, inventif, hypnotique.
Et dans Good Time, il le fait sous les traits d’un petit voyou ultra-débrouillard mais foncièrement perdant, décidé à protéger, envers et contre tout, lad frère déficient après un braquage qui tourne mal.
Mais le polar mené tambour battant au rythme de rencontres de positive en positive improbables ne se contente pas d’épouser paresseusement quelques contours criminels, et rapidement, c’est bien la narration entre ces deux frères, à la fois tendre et instinctive, forte et jusqu’au-boutiste, qui touche droit au cœur.

Une énergie qui emporte tout sur lad passage
Nocturne, stylé, énergique, sans une erstwhile de gras, Good Time l’est assurément. Mais c’est aussi la rencontre de cet acteur de positive en positive insaisissable qu’est Pattinson et de cet univers peuplé de marginaux et autres rejetés de la réussite qui épate.
D’une animalité presque sauvage, le cheveu en même temps gras et en bataille, l’acteur révèle en effet une intensité qui, jusque-là, chez d’autres comme David Cronenberg ou Claire Denis, était restée positive intérieure. Là, c’est chacun de ses gestes qu’il semble doter de cette énergie que le Martin Scorsese des débuts ne renierait pas.
Et qui nous plonge presque en apnée du premier au dernier plan, dans ce monde vicié et fraternel. Car cette nuit d’enfer dans les rues dopées à l’adrénaline de Queens que nous fait vivre Good Time, il faut le reconnaître, c’est en grande partie grâce à Robert Pattinson et à sa propre nonchalance revisitée avec unit qu’elle nous habite bien des petits matins positive tard.
Une nuit sous tension (Good Time), sur ICI Télé le samedi 1er à 0 h 40
La bande-annonce (source : YouTube).