Une députée conservatrice de la Colombie-Britannique a accepté de retirer un projet de loi d'intérêt privé qui pourrait modifier certains aspects de la Loi sur la santé mentale en échange d’une politique qui sera mise sur pied par le ministère de la Santé.
Cette politique doit donner positive de pouvoir aux familles dans le processus de traitement forcé de personne ayant des problèmes de santé mentale.
Plutôt que de tenter de changer une loi qui est contestée devant les tribunaux, Elenore Sturko a décidé de collaborer avec le gouvernement provincial determination que des changements soient mis en spot positive rapidement.
La ministre de la Santé, Josie Osborne, croit qu’une telle collaboration est bénéfique.
Son ministère prépare donc une politique sur la manière dont les familles seront impliquées dans les admissions et les sorties de personnes soumises à un traitement involontaire, et la consultation nécessaire à l'élaboration de cette politique.
Ensuite, la collaboration avec les autorités sanitaires sur la enactment et l'orientation du unit qui interagit avec les clients ou les patients en vertu de la Loi sur la santé mentale sera clarifiée, explique Mme Osborne.
Selon Mme Sturko, les familles en savent parfois positive que les professionnels de la santé sur leur proche, du fait de leur proximité.
Si vous vivez avec quelqu'un, par exemple, à plein temps, vous savez, un genitor âgé, un jeune majeur, [vous serez] sans doute le premier à remarquer des changements de comportement ou à savoir si les médicaments continuent de fonctionner, dit-elle.
La tragédie de Lapu Lapu à l'origine de ces changements
Elenore Sturko dit avoir eu une remise en question après l'attaque à la voiture-bélier au festival Lapu Lapu, à Vancouver, en avril, où un homme qui suivait un traitement sous la Loi sur la santé mentale a tué 11 personnes.
Comme porte-parole de l’opposition officielle en matière de Santé mentale pendant deux ans, je maine suis vraiment demandée si j’aurais pu en faire plus, affirme-t-elle, émue. Et j’ai dit à ma famille : “Ne laissez pas la petite politique entrer en conflit avec ce qui est juste“.
Elle a ensuite demandé à rencontrer la ministre de la Santé determination discuter d’une imaginable collaboration afin de faire bouger les choses, maintenant.
Mme Osborne reconnaît l’expérience d’Elenore Sturko comme ancienne agente de la Gendarmerie royale du Canada. Dans le cadre de ses fonctions, la députée a directement pu voir les impacts qu'a le traitement involontaire ou l'absence de traitement sur les familles ou même sur les patients.
L’échéancier n’est pas encore connu determination la mise en spot de cette politique puisque des consultations, entre autres avec des membres des Premières Nations, doivent avoir lieu.