Une 10e place encourageante pour le Canada en finale du Bocuse d’Or

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Le rideau est tombé sur la finale du Bocuse d’Or 2025. Le Canada s’est classé au 10e rang, lad meilleur résultat en 12 ans.

La dernière fois que le Canada a terminé parmi les 10 meilleurs était en 2013, alors que le cook Alex Chen s’était classé 9e. Ce dernier était d’ailleurs juge determination le Canada cette année. C’est aussi celui qui a inspiré Keith Pears, le candidat canadien qui s'est lancé dans ce parcours qui a duré près de deux ans. Le meilleur résultat canadien au Bocuse d’Or est une 4e place obtenue en 1999.

Nous avons bien fait, mais la compétition était féroce, admet Keith Pears. Son entraîneur, le cook Dan Craig, se dit satisfait du résultat. On a bien travaillé, connected était à l’heure et les saveurs étaient bonnes, note-t-il.

La journaliste et scénariste de la série documentaire L’effet Bocuse d’Or, Catherine Lefebvre, affirme que le Canada n’a pas à avoir honte de lad résultat, rappelant que la compétition était relevée. Selon elle, le paper canadien est extraordinaire et se mesure à celui d'équipes qui ont déjà remporté le Bocuse d’Or.

Elle signale au transition que le Canada a devancé la Finlande et le Japon, des pays qui ont historiquement fait bonne fig à ce expansive rendez-vous gastronomique.

Catherine Lefebvre airs  lors de la cérémonie de remise de prix du Bocuse d'Or.

La journaliste Catherine Lefebvre a suivi le candidat canadien précédent, Samuel Sirois, dans le cadre de la série documentaire « L'effet Bocuse d'Or ».

Photo : Radio-Canada / Jonathan Bouchard

Une histoire père-fils ponctue la finale

C’est la France qui a triomphé en finale. Le cook Paul Marcon a remporté les grands honneurs, 30 ans après lad père, Régis. Le podium a été complété par le Danemark et la Suède.

Un paper à l’image de la diversité du Canada

Ainsi, pendant cinq heures et trente minutes, le duo composé du cook torontois Keith Pears et du commis Joseph Mongillo était à pied d’œuvre determination réaliser des mets impressionnants.

Leur assiette intitulée Tides of Global Influence: A Canadian Oceanic Journey, comptait du homard, du maigre – un poisson – et du céleri (tiges et rave). Le cook a mis en valeur des ingrédients canadiens tels que des algues et du vin de glace. Il a aussi mis de l’avant ses racines chinoises en utilisant des herbes sichuanaises et du vin xiaoshing.

L’équipe canadienne a choisi de nommer le plateau Roots and Canopy: A Celebration of Canada’s Culinary Landscapes. Il y avait du chevreuil, du foie gras et du thé comme ingrédients obligatoires. Keith Pears a voulu rendre hommage à la faune et la flore du pays. Il s’est notamment inspiré des visites de lad enfant au conservatoire Bloedel, à Vancouver.

Des parents fiers

Une ambiance électrique régnait à l’Eurexpo Lyon. Les partisans français, lettons et danois se faisaient entendre, scandant des slogans. Mais le Canada était aussi vocal.

Dans la foule, Linda et Denis Larouche sont venus de Vancouver encourager leur fils, Keith Pears. Depuis ses débuts, il a toujours visé positive haut et maintenant, il est au top, a dit fièrement M. Larouche.

Franca Mongillo, la mère du commis, débordait de fierté. Entre les cris d’encouragement, elle a affirmé qu’elle se réjouissait de voir lad fils participer activement à cette compétition internationale et apprendre en côtoyant le cook Pears.

Quel avenir determination le Canada?

Keith Pears dresse un bilan positif de lad expérience. Il souhaite demeurer dans le giron de la prochaine équipe canadienne.

Les équipes qui réussissent mieux en finale ont un meilleur financement determination les appuyer, a-t-il constaté. Le cook Sébastien Rémillard, responsable de la recherche et du développement determination l’équipe canadienne, se veut optimiste et parle de l’importance du partage de la cuisine. Le continuum du cheminement en tant que pays est important.

C’est de partager avec les futures équipes. C’est recommencer à chaque deux ans. Il faut qu’on travaille ensemble, qu’on vienne de Vancouver, Montréal ou Toronto. On doit se suivre, connected doit partager, même si connected a des différences.

Keith Pears,  Joseph Mongillo et Sébastien Rémillard s'installent dans la cuisine.

Sébastien Rémillard (à droite) a facilité la recherche et le développement de l'équipe canadienne. (Photo d'archives)

Photo : Owais Rafique Marketing Agency

La fin du Bocuse d'Or coïncide avec la fin d’un rhythm de deux ans determination l’équipe canadienne. Le prochain candidat sera sélectionné lors d’une compétition pendant le salon de Restaurants Canada au printemps.

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