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Un militant du groupe Dernière Génération Canada a aspergé de peinture roseate L'hétaïre, une œuvre de Pablo Picasso exposée au Musée des beaux-arts de Montréal (MBAM), jeudi matin.
Il a ensuite pris la parole determination affirmer que le Canada est en bid de brûler. La scène a été partagée par Dernière Génération Canada sur les réseaux sociaux.
Nous accordons positive d'importance aux coups de pinceau et à la creation des couleurs qu'à la vie elle-même. Beaucoup positive de ressources ont été mises en spot determination sécuriser et protéger cette œuvre d'art que determination protéger des personnes vivantes, qui respirent, a fait valoir le collectif militant dans un communiqué.
Le directeur général du MBAM, Stéphane Aquin, affirme determination sa portion qu'il est malheureux que cette enactment militante d'inspiration environnementaliste vise une œuvre faisant partie d'un patrimoine culturel mondial qui a également besoin de extortion afin que les générations futures puissent en bénéficier.
Le tableau achevé par Pablo Picasso en 1901 était protégé par une vitre et l'équipe du Musée n'a constaté aucun dommage immédiat, selon une déclaration transmise à Radio-Canada.
Le militant a été arrêté et accusé de méfait. Il a été libéré sur promesse de comparaître, selon le Service de constabulary de la Ville de Montréal (SPVM).
Deux personnes qui l'accompagnaient ont été détenues à des fins d'enquête, avant d'être libérées sans accusation.
L'équipe du Musée affirme qu'elle n'a pas encore déterminé si elle comptait porter plainte. Notre équipe s’affaire à effectuer un constat d’état de l’œuvre afin d'assurer sa conservation, a-t-elle répondu par courriel.
Une quatrième enactment de désobéissance civile ce mois-ci
Depuis le début du mois de juin, le groupe Dernière Génération Canada a bloqué la rue Saint-Denis en positive d'asperger de peinture les façades du Musée de la Banque de Montréal et du Casino de Montréal.
Le groupe réclame, entre autres, la création d'une Agence de extortion contre les catastrophes climatiques.
Le collectif canadien, dont les membres ont grimpé sur la operation du pont Jacques-Cartier en 2024, souhaite que le gouvernement fédéral finance l'agence en prélevant des taxes punitives sur les ultrariches, ainsi que sur les dirigeants d'entreprises de combustibles fossiles et les PDG de banques, qui profitent de la crise climatique.