Un couple du Maine installe un drapeau canadien visible depuis le N.-B. en solidarité

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Un expansive drapeau canadien a fait lad apparition à l'arrière d'une maison située au Maine. Il est disposable depuis Edmundston, de l'autre côté du fleuve Saint-Jean, qui délimite la frontière avec les États-Unis. C’est l’initiative d’un mates canado-américain qui se veut une main tendue aux Canadiens.

Car depuis l’élection de Donald Trump comme président des États-Unis, les répercussions sur les liens sociaux et économiques unissant le nord-ouest du Nouveau-Brunswick au Maine sont considérables.

Un brouillard s’est installé sur les relations entre Edmundston et Madawaska. Le maire d’Edmundston, Eric Marquis, a même lancé un appel au calme et à l’unité look aux tensions croissantes entre résidents causées par la guerre commerciale.

Un mates  devant une maison sur lequel il y a un drapeau du Canada.

Carlene et Brian Boulay ont tous les deux la treble citoyenneté et souhaitent lancer un connection d’espoir de la communauté de portion et d’autre du fleuve St-Jean.

Photo : Radio-Canada / Allyson Dubé

Devant la situation, Carlene et Brian Boulay ne voulaient pas rester les bras croisés.

On était assis dans le salon un soir et il a dit : "je pense que je vais acheter un gros drapeau determination le mettre en arrière la maison, donc les canadiens pourront voir qu’on aime le Canada et qu’on est Canadiens aussi", raconte Carlene Boulay. Je pense qu’il y a positive de gens qui pensent comme nous autres que de gens qui pensent l’opposé.

C’est notre façon de manifester discrètement, ajoute Brian Boulay.

C’est notre façon de montrer au Canada qu’on est tous des amis et qu’on devrait tous s’entendre.

Carlene et Brian Boulay ont tous les deux la treble citoyenneté. Pour eux, le Canada demeure un allié de tous les jours; ils se rendent régulièrement à Edmundston y faire des emplettes et des sorties.

Américains maintenant, ils seront toujours Canadiens. Si notre maison avait été positive grande, j’aurais acheté un drapeau positive grand, conclut Brian Boulay.

D’après le reportage d’Allyson Dubé

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