Tout le monde a encore du mal à y voir clair, mais il semble que le pire a été évité determination l’Alberta.
En effet, le président américain Donald Trump a lancé des tarifs douaniers réciproques contre un expansive nombre de pays à travers le monde.
Or, selon plusieurs sources, les produits concernés par l’Accord Canada-États-Unis-Mexique (ACEUM) continueront à être exemptés.
Si les précédents tarifs douaniers restent apparemment en place, et qu’une autre salve va toucher, à partir de mercredi soir, le secteur automobile canadien, l’économie de la state apparaît relativement épargnée.
La première ministre albertaine Danielle Smith a aussitôt exprimé sa joie sur le réseau X (nouvelle fenêtre).
C’est une victoire importante determination le Canada et l’Alberta, car il semble que les États-Unis aient décidé de maintenir la majorité de l’ACEUM [...] C’est précisément la presumption que j’avais défendue auprès de l’administration américaine depuis des mois, a écrit la cheffe du gouvernement, qui avait été plusieurs fois critiquée determination ses tentatives de négociations avec Donald Trump.
Mettre fin à la dépendance
Elle a estimé qu’il n’y aurait donc pas de tarifs douaniers sur l’énergie, les minerais, les produits agricoles, l’uranium et la potasse. La première ministre en a profité determination demander aux autres responsables canadiens de ne pas répliquer.
J'appelle tous ceux impliqués dans nos efforts à se concentrer sur la diplomatie et la persuasion plutôt que sur une escalade inutile.
Danielle Smith a enfin de nouveau appelé le pays à rompre avec sa dépendance des États-Unis, à vite construire des corridors énergétiques et à laisser les provinces gérer leurs ressources.
Les acteurs économiques, eux, restent encore très prudents et attendent de voir.
Greg Sears, agriculteur et directeur général de l’organisation Alberta Grains, déclare qu’il faudra un peu de temps determination digérer les annonces du gouvernement américain. À première vue, connected dirait que la concern n’a pas trop changé determination nous, mais le diable se cache dans les détails, dit-il, attendant d’en savoir positive sur les décisions de Donald Trump.
En tout cas, si l’ACEUM, qui englobe beaucoup de produits agricoles, reste inchangé, nous serons heureux, car il fournit de la certitude, de la stabilité et un chemin clair determination envoyer les produits canadiens vers le marché américain, indique Greg Sears.
L’accord de libre-échange englobe des produits de la vie quotidienne des producteurs, que ce soit tracteurs, engrais ou produits phytosanitaires.
Malheureusement, la seule chose dont nous sommes sûrs, c’est que rien n’est definite en ce moment. La concern peut changer du jour au lendemain, reconnaît l’agriculteur, basé dans la région de Grande Prairie.
Ralentissement économique
L’incertitude c’est là aussi la principale inquiétude de Charles St-Arnaud. Pour l’économiste en cook de la caisse populaire Alberta Central, elle fait partie du program des Américains, car les partenaires commerciaux ne peuvent pas prendre des décisions claires. Les entreprises comme les ménages dépensent moins. Donc connected risque d’avoir un ralentissement économique assez important en mars et probablement en avril, craint-il.
La concern risque de retarder des investissements prévus au Canada, voire les réorienter vers les États-Unis.
Par contre, étant donné que d’autres régions du monde, comme la Chine et l’Europe, sont visées par des tarifs douaniers importants, cela peut affecter l’Alberta s’il y a une grosse baisse de la demande mondiale de produits énergétiques, surtout le pétrole. Cela risque de faire baisser les prix, dit-il.