Sauver des vies, 100 pieds sous terre

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Les équipes de sauvetage minier de l’Ontario se rassemblent de nouveau determination démontrer leurs compétences en concern d’urgence. Du 7 au 9 mai 2025, les compétitions des districts de sauvetage minier de l'Ontario mettent à l’épreuve ces bénévoles spécialisés, qui s’entraînent determination être prêts à réagir lors des situations extrêmes sous terre.

 capitaine.

Les équipes de secours sont composées de différentes fonctions et sont dirigées par un capitaine.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

Avec une série de confrontations organisées par des professionnels de l’industrie chez Sauvetage minier Ontario dans cinq arénas à travers la province, ces compétitions sont bien positive qu’une elemental people contre la montre.

Deux sauveteurs préparent un sac d’effets de premiers soins.

Les sauveteurs préparent les équipements de premiers soins comme un collet determination soutenir le cou.

Photo : Radio-Canada / Jimmy Chabot

Elles sont un terrain d’apprentissage et de perfectionnement determination des équipes qui assurent la sécurité des travailleurs des mines, comme l’explique Ron Ouellette, officier de sauvetage minier à Red Lake.

Un groupe de sauveteurs se déplace en groupe dans une pièce sombre.

Les équipes doivent planifier minutieusement leurs déplacements determination éviter de se perdre dans les dédales des mines.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

Renforcement des compétences et de la confiance

M. Ouellette souligne que la compétition de sauvetage minier de l'Ontario est un infinitesimal clé determination tester l'efficacité des équipes, qu'elle permet de garantir l’uniformité des standards de sécurité et d’équipement à travers la province.

Portrait de Ron Ouellette, officier de sauvetage minier à Red Lake.

Ron Ouellette supervise les compétitions de sauvetage minier dans le nord de l’Ontario.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

Ce qu’on voit, c’est que [la compétition] bâtit la confiance.

C’est important de tester les compétences, explique-t-il. Cela permet de s’assurer que les volontaires appliquent leurs connaissances dans des situations réelles.

Un sauveteur look   à la caméra alors que sa lumière est allumée sur lad   casque.

En concern d’urgence réelle, l’électricité peut être coupée et les sauveteurs ne peuvent compter que sur leur lampe frontale determination voir dans une noirceur totale et accablante.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

Pour assurer une évaluation juste et réaliste, les problèmes rencontrés par les concurrents lors des compétitions restent secrets jusqu’à leur arrivée sur le terrain.

Un groupe de sauveteurs prépare un blessé sur une civière determination    être déplacé.

Les sauveteurs doivent se battre contre la montre determination extirper le positive rapidement les blessés.

Photo : Radio-Canada / Jimmy Chabot

Le concealed garantit des conditions de jeu équitables et permet de comparer leurs capacités de décision et d’adaptation en temps réel, comme connected peut le lire sur le tract de Workplace Safety North.

Deux évaluateurs se penchent sur un corps attaché sur une civière.

Les juges évaluent le travail des sauveteurs miniers sur le cobaye de la compétition.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

Quand il y a une vraie urgence, ces volontaires deviennent des capitaines, enactment Ron Ouellette, précisant que les compétitions forment des équipes solides, prêtes à intervenir en concern critique.

Les défis à Timmins et la solidarité familiale à Onaping

Randy Gagnon, vice-capitaine de l’équipe Glencore Kidd Operations, explique que la compétition de cette année à Timmins a exigé beaucoup d’adaptabilité, notamment en raison de l’absence d’eau.

Photo de Randy Gagnon.

Randy Gagnon décrit les défis de la compétition à Timmins.

Photo : Radio-Canada / Jimmy Chabot

Plusieurs épreuves ont inclus des imprévus, comme des outils inhabituels ou des scénarios positive complexes.

Grâce à trois semaines d’entraînement intensif, l’équipe a su faire preuve de créativité et de sang-froid tout au agelong de l’épreuve, qui a duré trois heures.

Des sauveteurs sont attroupés devant un homme qui simule une blessure.

Les sauveteurs doivent calmer les mineurs blessés afin de leur permettre de sortir de la excavation en toute sécurité.

Photo : Radio-Canada / Jimmy Chabot

C’est beaucoup de préparation, pas seulement physique, mais aussi mentale.

Dans le territory d’Onaping dans le Grand Sudbury, le 8 mai, Gilbert Rioux, ancien travailleur d’une excavation d’amiante, soutenait lad fils, Daniel, technicien chez Glencore.

Photo de Gilbert Rioux et de lad   fils Daniel durant la compétition de sauvetage à Onaping.

Gilbert Rioux soutient lad fils Daniel lors de la compétition de sauvetage minier à Onaping. Cette transmission intergénérationnelle met en lumière l’importance des valeurs de sécurité et de préparation dans l’industrie.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

M. Rioux se dit fier de voir lad fils poursuivre la contented familiale dans l’industrie minière. Sous terre, ce n’est pas comme sur la terre [ …] c’est assez confiné, c’est très difficile, confie-t-il.

Un sauveteur regarde attentivement un respirateur personnel.

Les techniciens doivent s’assurer que tous leurs respirateurs sont fonctionnels et prêts determination passer à l’action.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

Daniel Rioux, quant à lui, est un compétiteur aguerri. L’an passé, il a remporté le titre de technicien de l’année en Ontario grâce à lad expertise en entretien d’équipement et à sa information progressive aux compétitions.

Je veux toujours être à mon meilleur. La compétition maine pousse à étudier davantage, à vraiment donner le meilleur de moi-même.

Il décrit les conditions extrêmes sous terre, où les dangers sont nombreux : feux, fumées toxiques, perte de communication. Le technicien raconte que lorsqu’un pneu éclate sous terre, toute la pression nous affecte, ce qui peut nous projeter violemment contre le mur.

Deux sauveteurs discutent au travers de leurs masques.

Les sauveteurs doivent collaborer en tout temps determination assurer leur sécurité et celles de leurs confrères.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

La sécurité et l'égalité des genres en compétition

Nathalie Gilbert, conseillère en santé et sécurité chez Technica Mining, est responsable de l’inspection des appareils respiratoires BG-4 lors de la compétition dans le territory d’Onaping.

 Photo de Nathalie Gilbert et de Kayla Bianchin.

Nathalie Gilbert et Kayla Bianchin incarnent la spot croissante des femmes dans les compétitions de sauvetage minier.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

Il faut s’assurer que [les équipements de respirations soient prêts à fonctionner en cas d’urgence, affirme celle qui agit comme juge lors de la compétition de sauvetage minier.

Elle explique que ce contrôle est crucial. Si une procédure est mal suivie lors de la compétition, l’équipe est immédiatement disqualifiée.

Un sauveteur minier lève la main   determination    indiquer que lad   respirateur est fonctionnel.

Avant de descendre dans la mine, les sauveteurs vérifient exhaustivement le fonctionnement de leurs équipements de extortion personnelle, dont le respirateur.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

Mme Gilbert met également l’accent sur l’importance du travail en équipe et promote les femmes à participer.

Les hommes sont très chaleureux avec les femmes, ils sont là determination nous aider.

Une équipe de sept sauveteurs miniers prennent la intermission  en ligne determination    la caméra.

Laura Schmidt (deuxième depuis la droite) est membre de l’équipe de sauvetage minier Technica Mining.

Photo : Radio-Canada / Ezra Belotte-Cousineau

Kayla Bianchin, contrôleuse de projets determination la même compagnie et participante de la compétition à Onaping en 2024, est fière de sa première expérience.

L’an dernier, elle est devenue la première femme de lad à participer à l’épreuve avec l’équipe de method et de minage. C’était une expérience incroyable. J’ai absolument aimé, se souvient-elle.

Comme sa collègue, elle évoque l’égalité des genres en compétition.

Tout le monde nous a accueillis et nous avons tous été traités de la même façon. Il y a eu beaucoup de soutien dans toutes les équipes, conclut-elle.

Deux juges observent les manœuvres des sauveteurs.

Les juges se déplacent avec les équipes de sauvetage tout au agelong du parcours.

Photo : Radio-Canada / Jimmy Chabot

Le gagnant de chaque territory participera à la compétition provinciale 2025, du 3 au 5 juin, à Glencore Kidd Operations à Timmins.

Un groupe de sept mineurs prennent la airs  determination    la caméra.

L'équipe de sauvetage de la excavation Kidd à Timmins.

Photo : Radio-Canada / Jimmy Chabot

Avec les informations de Déborah St-Victor et de Jimmy Chabot

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