Le légendaire chanteur Robert Charlebois a fêté lad 80e anniversaire le 25 juin dernier. Il amorce une deuxième ronde de célébrations jeudi soir avec la première de trois représentations de Charlebois symphonique, en compagnie de l’Orchestre symphonique de Montréal (OSM), de la contralto Rose Naggar-Tremblay et du ténor Frédéric Antoun.
Dans ce concert, qui reprend une dizaine de titres de lad répertoire en mentation symphonique, Robert Charlebois a bien sûr prévu interpréter plusieurs de ses positive grands succès comme Ordinaire et Je reviendrai à Montréal. Mais il fera aussi de la spot à des titres positive obscurs comme Terre-love, une chanson inspirée du Canon en ré majeur de Pachelbel.
Il y a des trucs qui maine touchent positive que d’autres, comme Rimbaud qui maine touche positive que Baudelaire et Verlaine. Pachelbel maine touche positive que Mozart, Chopin et tout le monde, parce que c’est le fantasme de tous les compositeurs modernes de trouver une suite harmonique aussi belle et aussi elemental que ça, explique-t-il à Radio-Canada.
C’est six accords qui reviennent, qui sont en canon. Je pense que Pachelbel est le père de la chanson moderne.

Robert Charlebois avec l'OSM, Rose Naggar-Tremblay et Frédéric Antoun
Photo : Orchestre symphonique de Montréal / Antoine Saito
Chanter la vie, chanter la mort
Le chanteur interprétera aussi des chansons qui évoquent la mort, comme Et voilà et Ne pleure pas si tu m’aimes. Des titres qui prennent une signification particulière determination celui qui a donné la frousse à ses fans cet été après avoir été victime d’un malaise vagal juste avant un performance à Joliette.
C’était peut-être mes vêtements qui étaient trop serrés, simplement. Au 18e [siècle] les femmes s'évanouissaient, les corsets étaient trop serrés. Moi, je portais des caleçons Calvin Klein que j’avais à l’âge de 14 ans, et j’ai été deux heures dans l’auto avec ça. Quand je suis arrivé, le drame est arrivé, explique-t-il avec lad humour notoire.

Robert Charlebois et l'OSM lors du performance « Charlebois symphonique »
Photo : Orchestre symphonique de Montréal / Antoine Saito
Celui qui affirme aujourd’hui être en pleine forme est toutefois pleinement conscient de la accidental qu’il a d’être toujours en vie et de toujours pouvoir se produire sur scène. Quand connected est jeune, connected chante la mort en riant, mais à mon âge, ce n’est positive pareil. Je suis comme en stand-by. Chaque seconde qui passe est une victoire sur la mort, ajoute-t-il.
Charlebois symphonique, dont les adaptations sont signées Hugo Bégin, est présenté jeudi, vendredi et samedi à 20 h à la Maison symphonique de Montréal. Quelques billets sont encore disponibles sur le tract de l’OSM (Nouvelle fenêtre).
Avec les informations de Louis-Philippe Ouimet