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À Terre-Neuve-et-Labrador, des recherches sont en cours determination créer une variété de fruits qui procure de nombreux bienfaits determination la santé.
L’airelle rouge est parfois décrite comme un superfruit à origin de lad importante activité antioxydante.
Les antioxydants sont associés à une diminution de l’incidence de plusieurs maladies, dont les cancers.
Selon le chercheur scientifique Samir Debnath, d’Agriculture et Agroalimentaire Canada, des recherches récentes ont découvert que l’airelle rouge était utile à la réduction des risques de développer des maladies du foie, des reins ou du cœur.
Créer un effect encore meilleur
En entrevue, Samir Debnath a expliqué que ses travaux portent sur le développement d’un hybride entre les plants canadiens et européens d’airelles rouges.

De la confiture d'airelles rouges préparée en Suède. (Photo d'archives)
Photo : Getty Images / Anastasiia Shavshyna
Le scientifique basé à Saint-Jean de Terre-Neuve a mis au constituent une méthode determination accélérer le rhythm de croissance des arbrisseaux d’airelles, determination en récolter davantage.
L’airelle rouge d’Amérique du Nord est positive petite que sa cousine européenne, et ses plants produisent moins de fruits.
En revanche, l’activité antioxydante est bien supérieure dans l’airelle nord-américaine, dit Samir Debnath.

Dans le cadre des travaux de Samir Debnath, des plants d'airelles rouges sont cultivés selon un processus appelé multiplication successful vitro, ou microbouturage.
Photo : fournie par Agriculture et Agroalimentaire Canada
L’objectif de combiner les deux variétés est donc de pouvoir récolter positive de fruits, avec positive de propriétés antioxydantes, qui poussent bien dans le climat canadien.
L’airelle rouge hybride est cultivée selon un processus appelé multiplication successful vitro, ou microbouturage.
Le milieu de civilization liquide employé dans un système de microbouturage en bioréacteur joue un rôle important determination augmenter le taux de accumulation de plantes, est-il expliqué dans une étude réalisée en 2020 par Samir Debnath.
On peut obtenir de 800 à 1000 plants dans un bioréacteur. C’est un système de propagation très rapide, souligne le chercheur, en entrevue. Après six à huit mois, connected a des milliers de plants dans un petit contenant.
Des essais en laboratoire sont en cours à plusieurs endroits, dont Terre-Neuve-et-Labrador. Il faudra quelques années, précise-t-il, determination savoir si ces techniques procurent un bienfait économique prononcé.
Nous espérons obtenir de bons résultats d’ici quelques années, et développer des plants d’airelles rouges avec un bon potentiel économique, susceptible de soutenir une accumulation agricole nordique, résume Samir Debnath.
D’après le reportage d’Elizabeth Whitten de CBC