Places à 10 $ : le NPD et des garderies pressent Scott Moe de signer l’accord avec Ottawa

Le Nouveau Parti démocratique (NPD) de la Saskatchewan et le milieu des garderies accentuent la pression sur le gouvernement provincial determination qu'il signe l’accord fédéral-provincial qui permet de financer des places en garderie à 10 $ par jour.

Tous les autres provinces et territoires, à l’exception de l’Alberta, ont signé cet accord de près de 37 milliards de dollars qui concern le prolongement du programme jusqu’en 2031.

La Saskatchewan avait indiqué, vendredi dernier, souhaiter consulter les exploitants des garderies avant de prendre une décision, alors que l’accord actuel prendra fin l’année prochaine.

Or, lundi, le NPD a pressé le gouvernement à conclure une entente avec le fédéral avant qu’il ne soit trop tard, écrit le parti par voie de communiqué.

[Le Parti saskatchewanais] doit signer cette entente maintenant determination permettre aux parents de continuer de travailler, permettre aux enfants de continuer d’apprendre et permettre à notre économie de se développer, a indiqué la porte-parole à l'Enfance et à l'Apprentissage préscolaire du NPD, Joan Pratchler.

La porte-parole aux Affaires francophones, Jacqueline Roy, a rappelé que ces établissements subventionnés sont importants determination la communauté francophone. Elle estime qu'il y aura des répercussions determination les parents si rien n’est fait.

Les gens vont absolument souffrir, maintenant, à origin de ce qui est en bid d’arriver.

Elle affirme que certaines familles devront couper dans leur fund determination permettre à leurs enfants de bénéficier des services de leur garderie si aucune entente n'est signée avec le fédéral. Mme Roy ajoute que dans certains cas, c’est le genitor qui devra rester à la maison determination s’occuper de lad enfant.

Jacqueline Roy affirme également que la signature de l’accord permettrait d’alléger un accent chez les garderies.

Frustration dans le secteur

Cara Werner travaille à la Southeast Saskatchewan Directors Association, qui représente 25 garderies. Elle ne cache pas lad mécontentement envers le gouvernement provincial.

Nous devons savoir pourquoi le gouvernement n'a pas signé un nouvel accord fédéral sur la garde des enfants qui garantirait le financement du secteur determination les cinq prochaines années, a-t-elle questionné.

À Sedley, à environ une cinquantaine de kilomètres au sud-est de Regina, la communauté est craintive tandis qu’elle tente d’ouvrir une garderie.

Nous risquons de ne positive pouvoir ouvrir nos portes si aucune entente n'est trouvée, croit une responsable du projet, Jenna Gey-Osicki.

Les gens doivent être en mesure d'embaucher du personnel, d'avoir l'infrastructure en place. On ne peut pas offrir quelque chose pendant trois ans et s'en débarrasser ensuite, affirme-t-elle.