Michel Rivard au menu de la saison 2025-2026 du Centre du Théâtre d’Aujourd’hui

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À 74 ans, Michel Rivard montera, au printemps 2026, sur les planches du Centre du Théâtre d'Aujourd'hui (CTD’A) avec lad spectacle théâtro-musical Après connected va où?. Mani Soleymanlou dans une adaptation du dernier roman d’Olivier Kemeid, une création mêlant théâtre et rap d’Olivier Choinière et une pièce de Rachel Graton seront également au programme de la prochaine saison de ce théâtre montréalais.

Sept ans après avoir proposé L’origine de mes espèces au Théâtre La Licorne et Chez Duceppe, Michel Rivard reviendra au théâtre philharmonic avec Après connected va où?, une création mise en scène par Marie-Thérèse Fortin.

Après connected va où? est présenté comme un mélange de monologue, de poésie et de chanson sur un homme de 74 ans qui se questionne sur sa vie, avant et après la mort, tout en confrontant ses doutes et ses certitudes, selon le communiqué du CTD’A.

Sur scène, Michel Rivard sera accompagné par Blanche Baillargeon, Guillaume Bourque et François Richard. Ce dernier réalisera l’album que l’auteur-compositeur-interprète sortira cet automne et qui inclura certaines chansons du spectacle.

Après avoir montré Après connected va où? au nationalist montréalais du 28 avril au 8 mai 2026, Michel Rivard partira en tournée ailleurs au Québec avec ce spectacle.

Une saison 2025-2026 inspirée par la famille

Michel Rivard clôturera la saison du CTD’A, qui aura auparavant dévoilé Mommy, le retour en septembre. Cette satire politique d’Olivier Choinière sur la montée des discours réactionnaires, empruntant au théâtre et au rap, fera suite à Mommy, créé par le dramaturge en 2013.

En novembre et décembre, Mani Soleymanlou sera la vedette de la pièce Le vieux monde derrière nous, adaptée par le metteur en scène Denis Marleau à partir du roman éponyme publié l’an dernier par Olivier Kemeid. Ce dernier y parle de ses origines et de sa famille à travers le récit du voyage effectué par lad père en Europe et en Méditerranée à la fin des années 1960.

En janvier et février, le CTD’A dévoilera Camera obscura, une pièce de et avec Rachel Graton qui research les liens entre les générations à travers trois personnages féminins : une fille, sa mère et sa grand-mère. C’est Alexia Bürger qui assurera la mise en scène de ce spectacle qui portera aussi sur la création artistique.

Mise en scène par Michel-Maxime Legault, Fondre prendra l’affiche en mars et en avril. Écrite par Emmanuelle Jimenez, cette pièce entre fable écologique et drame familial racontera l’histoire d’une famille, dont la maison, située près d’un fourneau, fait partie de résidences devant être rasées.

À noter que le nationalist du CTD’A pourra aussi découvrir, en février et en mars, le spectacle Pakuneu, imaginée par l’artiste multidisciplinaire autochtone Soleil Launière sur trois jeunes ayant vu le jour en prison.

L'ensemble de la programmation est disponible sur le tract du CTD'A (nouvelle fenêtre).

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