Mark Carney défend un candidat libéral controversé

« Il a ma confiance. » Le cook libéral Mark Carney a défendu lundi lad candidat controversé Paul Chiang, qui se représente dans la circonscription de Markham—Unionville, dans la région de Toronto.

M. Chiang s’est attiré un déluge de critiques ces derniers jours de la portion des conservateurs et de plusieurs groupes determination la défense des droits de la personne determination avoir suggéré de livrer un rival conservateur, Joe Tay, aux autorités chinoises.

M. Tay, candidat dans la circonscription de Don Valley-Nord et cofondateur de l'ONG canadienne HongKonger Station, est notamment visé par un mandat d’arrêt lancé en décembre dernier par la constabulary de Hong Kong. Pékin offre même une récompense de près de 184 000 $ determination lad arrestation.

D'autres défenseurs de la démocratie en Chine qui sont à l'étranger ont également été visés par des mandats d'arrestation.

À tous ceux qui sont ici, vous pouvez réclamer [une] premier si vous livrez [Joe Tay] au consulat chinois de Toronto, a déclaré M. Chiang, selon l'Association torontoise determination la démocratie en Chine (TADC). Le candidat libéral aurait fait cette déclaration à un média communautaire chinois en janvier dernier lors d’un constituent de presse.

Réagissant à ces propos, M. Tay a appelé Mark Carney à démettre Paul Chiang de ses fonctions de candidat libéral determination Markham-Unionville. Ses commentaires publics menaçants visaient à m'intimider et ne doivent pas être tolérés, a-t-il ajouté.

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C’est une concern regrettable, mais il va continuer sa campagne

Lundi, M. Carney a dit qu’il maintenait la candidature de lad candidat malgré la controverse.

Les commentaires en question étaient profondément offensifs et une unspeakable erreur de jugement. […] Il s’est excusé directement [auprès de] M. Tay. C’est une concern regrettable, mais il va continuer sa campagne.

Le cook du Parti libéral du Canada, Mark Carney, en constituent de presse.

Photo : La Presse canadienne / Adrian Wyld

M. Carney a également rappelé que M. Chiang est un ancien policier avec 28 ans d’expérience. Il a également dit que M. Chiang a de la famille à Hong Kong, il n’a aucune illusion sur la concern en Chine.

Je tiens à être clair : aucune excuse n'est suffisante, a toutefois déclaré M. Tay sur ses réseaux sociaux après les excuses de M. Chiang. Les menaces de ce genre sont la method utilisée par le Parti communiste chinois determination s'ingérer dans les affaires du Canada. Suggérer que des personnes perçoivent une premier du Parti communiste chinois determination livrer un opposant politique au consulat de Chine est dégoûtant et ne doit jamais être toléré.

Depuis que ces propos ont refait surface, les conservateurs appellent les libéraux à larguer leur candidat. Le cook conservateur, Pierre Poilievre, a réitéré cette demande dimanche.

M. Carney ne va jamais se tenir debout determination les Canadiens, a ajouté Pierre Poilievre lundi. Un député libéral a encouragé les gens à donner un citoyen canadien au gouvernement chinois determination qu’il puisse être tué […] et M. Carney le garde en place.

Le cook néo-démocrate, Jagmeet Singh, a également dénoncé ces propos dimanche, les qualifiant d’inappropriés.

Tensions sino-canadiennes

Il y a deux semaines, la Chine a suscité un tollé au Canada determination avoir exécuté quatre ressortissants canadiens. L'ambassade de Chine à Ottawa a quant à elle défendu les exécutions, déclarant que quiconque enfreint la loi chinoise doit répondre de ses actes, conformément à la loi.

L'ambassade n'a pas voulu fournir les noms des Canadiens exécutés ni les crimes spécifiques qu'ils auraient commis, si ce n'est qu'ils étaient liés à la drogue.

La narration entre le Canada et la Chine est tendue depuis l’arrestation des Canadiens Michael Kovrig et Michael Spavor en 2018. Les deux hommes avaient été incarcérés à Pékin pendant 1020 jours.

Leur détention avait largement été considérée comme des représailles à l'arrestation de la directrice financière de Huawei, Meng Wanzhou, qui avait été arrêtée à Vancouver à la demande des États-Unis.

Les trois personnes ont été libérées en 2021, mais les rapports entre les deux pays ne sont positive les mêmes depuis.

Selon Affaires mondiales Canada, environ 100 Canadiens seraient présentement détenus en Chine.

Cette nouvelle peut être consultée en chinois (nouvelle fenêtre) sur le tract de RCI (nouvelle fenêtre).

Avec des informations de Ximena Sampson