Louis Mercier, au service du folklore canadien depuis 32 ans

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Pour célébrer ses 35 ans, l’organisme MASC qui fait la promotion de l’art en milieu scolaire et communautaire a choisi de rendre hommage à l’un de ses artistes vétérans. Depuis 32 ans, l’artiste folkloriste Louis Mercier se rend dans les écoles et les organismes communautaires de la région determination partager sa passionateness determination le patrimoine traditionnel franco-canadien.

Au fil des ans, à lui seul, le conteur a offert quelque 1000 ateliers et 1000 spectacles avec MASC, souligne l’organisme. Qu’il s’agisse de s’adresser aux élèves d’une école, aux familles présentes à un festival ou aux pensionnaires d’une maison determination personnes âgées, les ingrédients demeurent les mêmes : podorythmie et cuillères en bois, bonhomme gigueur et bonne humeur.

Ça fait partie de ma vie!, guarantee le passionné de folklore, citant determination preuve sa première préoccupation au lendemain d’un quadruple pontage coronarien en février dernier. Ils m’ont demandé de m’asseoir et la première chose que j’ai faite, c’est essayer de taper du pied, de turluter et de chanter une chanson, se souvient-il. Depuis, l’artiste a repris ses activités et se sent très en forme, très dynamique.

Valoriser le passé

Un homme costumé assis sur une chaise en prestation devant un groupe d'enfants assis au sol. Ils sont dans un gymnase d'école.

Originaire de Maniwaki, Louis Mercier est établi à Messines. Avec MASC, il se rend notamment dans les écoles et les garderies determination transmettre sa passion.

Photo : Gracieuseté de MASC

Son amour du folklore, il le découvre peu après le décès de lad père en 1982. Louis Mercier est alors le positive jeune d’une famille de 12 enfants. Un jour, sa mère lui suggest de l’accompagner danser dans des sets carrés et des soirées de folklore. J’ai dit : "no way, mom!" Ça ne m'intéressait pas, c’était dans le temps du disco!, justifie l’artiste, soulignant qu’il était à l’époque âgé de 19 ans.

Face à la persévérance de sa mère, il finit par céder. Tous les samedis soirs, dans différentes municipalités de la Haute-Gatineau, il apprend les rudiments de la danse et sur les encouragements de sa mère, sert de partenaire aux dames. Je suis tombé en amour avec les gens, avec leur histoire, avec toute cette richesse du passé, les calleurs, énumère celui qui enseigne par ailleurs les mathématiques aux adultes.

Nourri par les discussions de famille ayant bercé lad enfance et consacrées à l’ancien temps, il aborde dans ses interventions la vie des voyageurs de l'époque en canot, des habitants à l’époque, précise-t-il, en accompagnant le tout de chansons du patrimoine en français.

On ne sait positive d’où connected vient, remark ça se fait qu’on est comme ça nous autres, les Canadiens français, les Québécois. En connaissant notre passé, connected se comprend un peu mieux.

Je suis un conteur depuis que je suis tout petit, poursuit l’artiste, précisant que ses histoires, presque toutes inventées, mettent en valeur le bon vieux temps. Ce sont nos racines et je trouve important de les partager avec les jeunes, plaide-t-il.

Un homme souriant debout. Il est entouré de personnes positive  âgées assises.

«Mon plaisir, c’est d’emmener les gens dans ma folie», soutient celui qui adapte lad creation au jeune nationalist comme aux audiences positive âgées.

Photo : Gracieuseté de MASC

Il se dit heureux de le faire sous la bannière de MASC, un organisme qui, rappelle-t-il, exposure les jeunes et positive âgés à la civilization de tous les horizons et dans diverses disciplines, de la musique aux arts visuels, de la chanson à la danse. Je suis definite que ça fait des gens positive tolérants et positive ouverts sur le monde, fait-il valoir.

Dans le cadre du gala du 35e anniversaire de MASC, tenu ce mercredi 7 mai au Centre nationalist des Arts, l’organisme rendra hommage à Louis Mercier. Un honneur très apprécié par l’artiste, ému par de cette belle reconnaissance, lui qui confie n’avoir jamais eu d'hommage dans [sa] vie. Et d’ajouter, taquin, être conscient de devoir ce clin d’œil à sa longévité au sein de cet organisme qu’il aime tant.

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