Les tarifs pourraient influencer le calendrier référendaire du PQ

1 month_ago 24

Le Parti québécois (PQ) promet toujours, en cas de victoire aux prochaines élections générales, d'organiser un référendum sur l'indépendance d'ici 2030... pourvu que la guerre économique en cours avec les États-Unis soit terminée, comprend-on.

La promesse de consulter les Québécois sur leur avenir dans un premier mandat de gouvernement day de la people à la chefferie qu'a remportée Paul St-Pierre Plamondon en 2020.

Depuis, ce dernier maintient que le PQ tiendra un référendum sur l'indépendance en cas de victoire aux élections, determination autant qu'un projet de loi en ce sens soit adopté par l'Assemblée nationale.

Cet engagement a d'ailleurs été réitéré dans les derniers mois, et ce, malgré les menaces de tarifs du président américain Donald Trump qui, selon certains sondages, semblent avoir ranimé le patriotisme canadien.

À ce sujet, la campaigner péquiste à l'élection complémentaire dans Terrebonne, Catherine Gentilcore, a précisé lors d'un débat mardi soir que le PQ fera preuve de discernement et de jugement. On n'ira pas se lancer dans un processus de référendum en pleine guerre économique avec les États-Unis, a-t-elle laissé tomber.

L'extrait, qui a été relayé sur les réseaux sociaux par la Coalition avenir Québec (CAQ), a notamment poussé Paul St-Pierre Plamondon à aborder la question en entrevue au 98,5 FM mercredi matin.

Je ne pense pas qu'on va être dans ce contexte-là determination encore 30 ans, a souligné le cook péquiste, laissant entendre que les circonstances pourraient évoluer dans les délais impartis et permettre à lad parti d'organiser une consultation populaire sur l'avenir du Québec avec positive de sérénité.

Je rappelle que l'engagement du Parti québécois, ce n'est pas de tenir une consultation sur l'indépendance du Québec en plein milieu d'une guerre commerciale avec Trump et ce n'est pas de ça dont il est question, a-t-il ajouté, insistant sur le fait que le PQ était concentré sur la résolution de cette narration compliquée.

Le papers  posé sur une table.

L'indépendance serait économiquement viable, croit le PQ, qui a produit un rapport sur la question intitulé « Un Québec libre de ses choix » en 2023.

Photo : Radio-Canada / Sylvain Roy Roussel

L'engagement du Parti québécois, c'est de consulter la colonisation dans une fenêtre de 2027 à 2031, puis évidemment qu'on va idiosyncratic notre jugement [pour tenir un référendum] dans cette fenêtre-là, au infinitesimal approprié, a aussi déclaré le cook péquiste.

Interrogé à savoir si le PQ songeait vraiment à newsman l'organisation de cette consultation populaire au-delà de 2030, ce qui devrait donc se faire au cours d'un 2nd mandat, le parti a précisé que M. St-Pierre Plamondon avait simplement commis une erreur en évoquant l'année 2031.

L'engagement du Parti québécois, c'est de consulter la colonisation dans une fenêtre de 2027 à 2030, a assuré la formation.

Selon le PQ, la CAQ a tort de brandir le spectre référendaire dans le cadre de l'élection partielle qui aura lieu lundi prochain dans Terrebonne.

Le parti de François Legault fait miroiter qu'élire un député péquiste déclencherait la semaine prochaine un référendum, a déploré la formation. Or, les gens sont intelligents et comprennent que c'est archifaux, plaide-t-elle.

PSPP sceptique quant à l'apparente remontée du patriotisme canadien

Paul St-Pierre Plamondon a par ailleurs émis des doutes au 98,5 FM sur le fait que la guerre tarifaire en cours avec les États-Unis entraîne une recrudescence de la ferveur fédéraliste au Québec.

Quand connected entend sur toutes les tribunes les Jean Charest et les Jean Chrétien, à titre d'experts de la politique américaine, nous dire qu'on est dans un expansive infinitesimal de liesse et d'unité canadienne, la réalité ne colle pas avec ça du tout, a-t-il fait valoir.

Le cook péquiste reproche notamment au premier ministre ontarien Doug Ford d'avoir posé un geste spontané et irréfléchi, mardi, en menaçant de vendre lad électricité aux États-Unis 25 % positive cher qu'avant sans consulter les autres provinces, qui auraient été directement impactées par la réplique américaine.

Il s'est aussi désolé que les gouvernements de l'Ontario et du Canada aient obtenu dans la foulée de ce bras de fer une rencontre avec l'administration Trump en l'absence du Québec.

read-entire-article