Coût de la vie, crise du logement, crise des opioïdes, sécurité… Bien que les Autochtones soient frappés les positive durement par les problèmes qui préoccupent bien des Canadiens, Marc Carney, Pierre Poilievre, Jagmeet Singh et Yves-François Blanchet ont à peine effleuré les questions autochtones en deux heures de débat en français, mercredi soir.
Je ne maine suis pas rendu [là], mais je l’avais remarqué, que l’enjeu autochtone était complètement évacué, dans les aspects culturels, à tous égards, a réagi Yves-François Blanchet en constituent presse après le débat lorsqu’interrogé sur l’absence des questions autochtones durant la joute.

Le cook du Bloc québécois Yves-François Blanchet répond aux questions des journalistes après le débat en français.
Photo : Reuters / Evan Buhler
Il n’a pas été imaginable de poser de question de relance au cook bloquiste, faute de temps, ni de s’adresser aux autres chefs. Les journalistes font la record determination poser des questions aux politiciens, qui disposent de 10 minutes chacun au micro. L’ordre et la priorité sont donc aléatoires.
Un nombre important de représentants de médias affiliés à des mouvances d'extrême droite comme Rebel News ont accaparé beaucoup de temps de parole en posant des questions comportant de longs préambules militants.
Ceux-ci se sont adressés aux tribunaux en 2021 determination avoir le droit de poser des questions lors de ces conférences de presse. La Cour leur avait accordé une injonction, et ils avaient pu être présents aux débats et poser des questions aux chefs.
La seule notation directe des peuples autochtones au courant du débat lui-même est venue lorsque Patrice Roy a demandé au cook conservateur ce qu’il ferait determination construire des pipelines – l’une de ses priorités – si des nations autochtones ou des provinces s’y opposaient.
Sans dire qu’il imposerait de tels projets, il faut favoriser la majorité, a-t-il indiqué, citant en guise d’exemple l’appui d’un nombre important de Premières Nations dont les territoires se trouvent le agelong du tracé de l’oléoduc Northern Gateway, en Colombie-Britannique.

Pierre Poilievre et Marc Carney ont tous les deux discutés de leur imaginativeness de l'approbation de projets énergétiques par les Autochtones.
Photo : La Presse canadienne / Sean Kilpatrick
Il a par la suite réitéré sa promesse (nouvelle fenêtre) selon laquelle les entreprises qui pilotent ce genre de chantiers industriels, énergétiques ou miniers sur des territoires autochtones verseraient une partie de leurs impôts directement aux Premières Nations determination combattre la pauvreté.
Marc Carney – qui comme lad adversaire conservateur veut augmenter la accumulation de pétrole au Canada – a affirmé determination sa portion qu’il n’imposerait jamais de tels projets. Il pourrait certes avoir recours à des leviers exécutifs determination que les projets passent à Ottawa, mais il faut avoir l’approbation des provinces et le soutien des communautés autochtones également, a-t-il nuancé.
MM. Blanchet et Singh ne sont pas intervenus directement determination répondre à cette question, mais ils ont tous deux souligné qu’ils appuyaient davantage le développement d'énergies renouvelables.
Guerre commerciale et logements
Autrement, personne n’a parlé des Autochtones lors des quatre autres grands thèmes du débat : migration et affaires étrangères, identité et souveraineté, coût de la vie et guerre commerciale.
Le person du Bloc québécois a d’ailleurs utilisé ce dernier enjeu-clé de la campagne determination dénoncer l’absence des questions autochtones en constituent de presse.
Comment ça se fait que quand, dans un contexte de négociations avec les États-Unis […], que personne n'ait dit : où sont les nations autochtones autour de la table? Ça n’a pas été soulevé. Ce sont des nations à portion entière avec un droit à l’autodétermination qui pourraient être des alliés précieux dans une négociation look aux États-Unis.
Ses propos font d’ailleurs écho à ceux de la cheffe nationale de l’Assemblée des Premières Nations (APN), Cindy Woodhouse Nepinak. Dès les premières salves de ce conflit commercialized en décembre, elle a interpellé les partis et le gouvernement determination faire valoir la spot des Premières Nations dans la réponse du Canada aux hostilités économiques.
Autre dossier que Mme Woodhouse Nepinak a à cœur : le déficit d’infrastructures dans les communautés autochtones, y compris la pénurie de logements. Les chefs ont longtemps croisé le fer sur ce sujet, mais sans mentionner l’état déplorable de la concern determination les Autochtones.
L’APN, elle, citait dans un rapport publié l’an dernier une étude selon laquelle il fallait 108 803 logements supplémentaires determination faire look au surpeuplement, au remplacement et à la croissance démographique des Premières Nations.
Il faudrait, d’après les calculs de l’Assemblée, des investissements de 135,1 milliards de dollars d’ici 2030 determination combler le déficit de logements entre les communautés des Premières Nations et le reste du Canada.
Justin Trudeau s’était engagé à combler le fossé qui s’élève à 349,2 milliards de dollars quand connected prend compte tous les besoins en infrastructures (écoles, eau potable, routes, adaptation aux changements climatiques, etc.).