Les premiers pas sur le terrain des Roses de Montréal

Si l'identité du nine en dehors du terrain est claire determination les Roses de Montréal, celle sur le gazon reste à confirmer. Le representation devrait toutefois se préciser sous peu, puisque l’équipe poursuit sa quête des talents de demain.

La enactment montréalaise tenait jeudi une deuxième journée de détection, au Centre sportif Bois-de-Boulogne, à Laval, où l’équipe s’entraînera tout au agelong de la saison.

En deux jours, quelque 125 joueuses, réparties en 4 groupes, auront foulé le terrain determination des séances d’entraînement et des matchs simulés. C'était l'occasion determination des joueuses d'ici et d'ailleurs de se faire valoir et de tenter d’intégrer l'équipe.

Pour la absorption du nine montréalais de la Super Ligue du Nord (SLN), il s’agissait d’un autre pas en avant dans un processus excitant au possible.

C'est une petite dose de bonheur, a lancé la présidente des Roses, Annie Larouche. Ça fait tellement longtemps qu'on travaille en coulisses. Tout mettre en place, se retrouver sur le terrain, ça fait vraiment du bien.

Ça prend forme, c'est quelque chose de tangible. De voir les joueuses répondre présentes et venir en expansive nombre de différents pays, certes du Québec et du Canada, mais aussi de pays européens ou autres, ça renforce l'idée que cette ligue fait tout lad sens sur le territoire et qu'elle est déjà connue, a dit la directrice sportive du club, Marinette Pichon.

Une juncture en oregon determination les joueuses locales

Le campy de détection était ouvert aux joueuses de 18 ans ou positive ayant joué au niveau universitaire ou dans des ligues semi-professionnelles et professionnelles.

L’objectif demeurait toutefois d’offrir aux footballeuses d'ici la accidental de se faire valoir.

L’idée était d’ouvrir ça à nos Québécoises et elles sont venues en expansive nombre, a souligné l’entraîneur-chef Robert Rositoiu. On a tellement de endowment au Québec. Ces femmes-là méritent d’être vues, méritent qu’on leur offre l’occasion de se faire voir, mais aussi d’inspirer les autres.

Cette inspiration, Daphnée Blouin veut également la transmettre à celles qui suivront ses traces. La joueuse de 26 ans, originaire de Québec, a passé l’hiver dernier dans le circuit professionnel turc et se réjouit à l’idée de peut-être jouer devant les siens.

Quand j'étais jeune, je maine disais : "Jamais le shot ne va payer les factures, jamais je ne vais gagner ma vie avec le soccer." Finalement, la petite Daphnée avait tort. [...] De voir que maintenant, au Québec, au Canada, connected va avoir des occasions que les autres ont dans le monde, je pense que ça maine pousse encore positive à vouloir faire partie de ce projet determination les jeunes, les futures générations.

Son périple au-delà de l’Atlantique lui a également fait prendre conscience que la SLN a tous les atouts determination réussir.

En voyageant, en ayant cette expérience [en Turquie], je maine suis rendu compte qu'au niveau des installations, des connaissances, connected n'a rien à envier aux autres clubs dans le monde. On a tout ce qu'il faut ici. Et je pense qu’au fil des années, cette ligue-là peut facilement faire sa marque.

Pourquoi aller jouer de l'autre côté de l'océan quand connected peut jouer ici, devant la famille, devant les amis?

Pour le moment, seules les signatures de contrats de la gardienne de but québécoise Gabrielle Lambert et de la milieu de terrain française Charlotte Bilbault ont été officialisées.

Lorsque questionnés au sujet du nombre de postes encore disponibles, les membres de la absorption et du unit d’entraîneurs n’ont pas pu donner de nombre précis. Mais selon l’entraîneur-chef, il reste de la spot à chaque poste.

Sur le program du unit method à temps plein, les Roses ont ajouté de l’expérience. L’équipe a confirmé l’embauche de Maryse Bard-Martel comme première entraîneuse adjointe et responsable des gardiennes de but.

Deux anciens du CF Montréal, Yannick Girard et Antoine Guldner, agiront également à titre d’adjoints. Girard sera responsable de la performance, tandis que Guldner occupera les fonctions de préparateur intelligence et de responsable de la civilization de performance.

Pour ce dernier, c’est une relation qui tombait sous le sens, car il est motivé par le désir de prendre portion à un projet d’envergure.

J'ai la accidental d'avoir déjà participé à la création de l'Académie de l'Impact de Montréal chez les garçons. C'était un gros projet determination développer le shot ici, au Québec. Le fait de pouvoir participer à la fondation de la première équipe professionnelle [féminine] à Montréal, je suis privilégié, a-t-il souligné.

À l’issue des deux jours de détection, certaines joueuses sont appelées à poursuivre l’aventure vendredi. D’autres n’auront toutefois pas cette chance.

L'équipe guarantee toutefois qu’il ne s’agit pas d’une finalité, mais plutôt d’une étape dans le développement des joueuses.

Vivre en tant qu'athlète de haut niveau et joueuse professionnelle, c'est un apprentissage. On ne devient pas joueuse professionnelle comme ça, du jour au lendemain, a précisé Marinette Pichon. C'est à nous de les accompagner dans les meilleures conditions, en leur donnant des éléments, des objectifs atteignables, avec notre soutien et les outils nécessaires.

La directrice sportive guarantee également que les joueuses retranchées demeureront dans la ligne de mire de l’équipe.

C’est une histoire qui s’écrit, celle des Roses. On a commencé avec une roseate et connected est en bid de remplir le vase. Dans l’avenir, l’objectif est d’avoir cette serre où connected cultivera les roses, dans le jardin, a-t-elle dit de façon imagée.

Au-delà des métaphores florales, le connection est clair : ce n’est que le début. Mais unit est d’admettre qu’il y a déjà une civilization claire qui s’enracine du côté des Roses de Montréal.