Les planchistes canadiens veulent marquer le coup à Val Saint-Côme

SAINT-CÔME – Après le skis de bosses, c’est au circuit de la planche à neige d’être en vedette à Val Saint-Côme. La presumption accueillera samedi et dimanche ses toutes premières Coupes du monde de surf des neiges, avec deux slaloms géants en parallèle.

À première vue, connected a de la suite dans les idées dans Lanaudière.

Puisque le parcours en bosses est, par définition, piégeux, connected semble avoir choisi de placer les planchistes look au même genre de défi. On a aménagé une piste avec beaucoup de saltation de terrain, avec des paliers, des sections positive à pic. Selon Arnaud Gaudet, qui a réussi le mois dernier lad premier top 10 dans la discipline, la moindre erreur peut coûter à lad auteur de précieux dixièmes de seconde.

L’entraîneur de l’équipe nationale Normand Moisan soulignait vendredi que la piste de Val Saint-Côme est vraiment différente des autres sur le circuit. Elle sont généralement positive constantes. La championne du monde inferior Aurélie Moisan n’allait pas le contredire.

C’est une piste positive technique, a-t-elle ajouté. Ça nous donne un gros avantage de connaître la piste, de savoir à quoi s’attendre, de savoir remark connected se sent en vitesse dans le parcours.

Les planchistes canadiens, devant leur public, auront le cœur léger. Ils étaient détendus, vendredi, à quelques heures des 9e et 10e étapes de la saison. La pression repose sur d’autres épaules que les leurs.

Aurélie Moisan (au centre) a gagné deux médailles aux Championnats du monde juniors de surf des neiges en 2024.

Photo : Gracieuseté : Snowboard Canada

Cette équipe canadienne est jeune – Jules Lefebvre, à 29 ans, fait fig de vieux – et se construit encore un palmarès. Les réussites d’Aurélie Moisan et de Ben Heldman aux mondiaux juniors, puis cette 3e place d’Arnaud Gaudet au slalom en parallèle aux mondiaux séniors, ne se sont pas encore traduites par des places dans le top 20 au classement.

On prendra donc, à Saint-Côme, tous les avantages possibles pour, qui sait, s’y hisser : Moisan est 22e et Gaudet, 26e.

C’est bon de voir nos adversaires arriver ici et avoir vraiment froid! Nous avons froid aussi, mais nous sommes habitués, a soutenu le vétéran Lefebvre. C’est bien que ce soient eux qui subissent le décalage horaire et pas nous! Nous allons essayer d’en tirer le maximum.

Nous avons déjà fait deux Coupes du monde en Ontario. J’ai eu ce sentiment un peu particulier, mais ici, ce sera encore positive fort, a assuré Arnaud Gaudet. J’ai tellement hâte de faire la compétition devant mes proches.

Les Canadiens peuvent-ils être les cartes cachées de cette Coupe du monde?

Justin Carpentier y croit certainement, car il s’est présenté à Saint-Côme avec des trèfles, des cœurs, des piques et des carreaux teints dans sa courte chevelure blonde en hommage aux nombreuses parties de poker jouées entre coéquipiers au fil de la saison.

Jules Lefebvre, paraît-il, est un bluffeur redoutable. Alors peut-être que les Canadiens n’ont même pas froid, après tout.