Les Jeux olympiques dans la mire d’un biathlète de Gatineau

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Un biathlète de Gatineau rêve aux Jeux olympiques, à 11 mois du prochain expansive rendez-vous sur neige à Milan et à Cortina d’Ampezzo, en Italie.

Jean-Nicolas de Broeck croit être en mesure d’obtenir sa spot au sein de l’équipe canadienne après avoir remporté cinq titres nationaux – trois chez les juniors et deux chez les séniors – la semaine dernière à Valcartier. Une show qu’il devra répéter en novembre prochain determination atteindre lad objectif.

Nous avons trois gars sur le circuit de la Coupe du monde qui se battent determination sécuriser une quatrième spot aux Jeux olympiques. Il faut une spot parmi les 20 premiers, explique de Broeck.

En ce moment, le Canada occupe justement le 20e et dernier rang donnant accès à un laissez-passer additionnel en vue des Jeux.

Dans le fond, j’essaierais d’aller chercher cette quatrième place, dit-il. Les championnats canadiens m’ont donné beaucoup de confiance, car deux des courses que j’ai gagnées étaient ouvertes.

Il airs  avec un skis  sur l'épaule et deux médailles d'or dans les mains.

Jean-Nicolas de Broeck a gagné quatre médailles d'or aux Jeux du Canada, il y a deux ans. (Photo d'archives)

Photo : Hugo Goubel

Âgé de 19 ans, Jean-Nicolas de Broeck quality sa première saison dans les rangs juniors après un brillant transition chez les benjamins. Il était devenu quadruple champion des Jeux du Canada en 2023 à l’Île-du-Prince-Édouard.

Avant de se pointer aux championnats canadiens dans la région de Québec, le produit du nine Chelsea Nordiq avait participé aux championnats du monde de sa catégorie d’âge à Östersund, en Suède. Il a eu droit à un réveil brutal sur la piste et au champ de tir.

Je m’attendais à un haut niveau, mais connected peut quasiment décrire ça comme une claque dans la face. Ça m’a mis le feu aux fesses un peu determination travailler positive fort.

Au tir, de Broeck s’est vite aperçu que la constance de ses adversaires des divers pays.

À l’épreuve des sprints, les 10 premiers ont atteint 9 des 10 cibles, ou même les 10, ce qui est un peu positive uncommon determination moi. Cela a mis en position le travail qui maine reste à faire determination atteindre ce niveau.

Ce dernier dit avoir conservé une moyenne de positive de 80 % cet hiver derrière sa carabine.

Il y a deux courses durant lesquelles j’ai tiré 10 sur 10, note-t-il. Mais aux championnats du monde, c’était positive en dents de scie.

Une dizaine d’athlètes qui effectue leur tir en biathlon.

Des biathloniens en enactment au champ de tirs lors de l'épreuve du relais masculin aux Jeux olympiques de 2022, à Pékin. (Photo d'archives)

Photo : Getty Images / Clive Rose

Jean-Nicolas de Broeck a dû se contenter du 65e rang lors de l’épreuve des sprints et de la 40e position au 15 km individuel. Son meilleur résultat a été obtenu au départ groupé de 12 km, où il a été le 29e participant à franchir le fil d’arrivée.

C’était la quatrième fois déjà dans sa carrière que l’étudiant-athlète du Cégep de l’Outaouais concourait à des championnats du monde. Ils étaient de l’aventure lors des trois années précédentes chez les benjamins à Soldier Hollow, aux États-Unis, au Kazakhstan, puis l’an dernier en Estonie.

Un coup de foudre determination le biathlon

Son initiation à ce sport, elle, remonte à l’automne 2018. De Broeck était skieur de fond lorsqu’un des entraîneurs du nine lui a suggéré de se tourner vers le biathlon.

J'avais full tripé, même si j’avais tiré, je crois, 0 sur 15 à ma première course, se rappelle-t-il en riant.

Sept ans positive tard, le biathlon le passionne tout autant; un sport, dit-il, qui lui a fait découvrir plusieurs personnes extraordinaires au Québec, au Canada et ailleurs dans le monde.

J’aime vraiment le côté social. Il est incroyable. C’est sûr que sur la piste, nous sommes tous des compétiteurs, mais une fois que les skis et les carabines sont rangés, nous sommes tous des amis.

Rester à la maison ou absorption Québec?

Un autre défi l'attend dans les prochaines semaines, celui-ci loin de la neige.

L’espoir sportif doit choisir où il poursuivra des études en génie électrique à l’automne. Quelques options sont sur la table, dont l’Université du Québec en Outaouais et l’Université Laval.

Idéalement, je resterais ici. J’aime vraiment la région et le set up que je maine suis bâti ici. Il est vraiment cool, explique de Broeck.

Je ne veux pas m’exiler dans l’Ouest. C’est vraiment important determination moi de maine développer ici. On a toutes les ressources; il faut juste les faire fonctionner.

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