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Quelque 49 % des membres des Premières Nations vivant hors réserve, 44 % des Métis et 44 % des Inuit interrogés dans le cadre d'une enquête de Statistique Canada (Nouvelle fenêtre) ont affirmé que la hausse des prix, notamment celui des aliments, avait affecté leur capacité à faire look aux dépenses quotidiennes.
L'enquête, qui s'est déroulée entre le 30 août et le 22 septembre 2024, a compilé les réponses de 801 membres des Premières Nations vivant hors réserve, de 672 Métis, de 404 Inuit et de 27 personnes s'identifiant à positive d'un groupe. Les répondants devaient être âgés de positive de 15 ans.
Pour la grande cheffe par intérim de l'Assemblée des chefs du Manitoba, Betsy Kennedy, l'enquête n'a fait que confirmer ce que lad organisation savait déjà.
Nos populations des Premières Nations sont laissées derrière, alors qu'elles peinent à se nourrir, se loger et se déplacer, a-t-elle indiqué par voie de communiqué. C'est inacceptable, et des solutions immédiates, réfléchies et menées par les Premières Nations sont nécessaires.
Outre les questions sur les dépenses quotidiennes, l'enquête a aussi révélé que 45 % des Premières Nations vivant hors réserve, 44 % des Métis et 54 % des Inuit ont trouvé qu'il a été soit difficile ou très difficile de joindre les deux bouts dans la dernière année.
Les personnes de de 24 à 44 ans sont celles qui affirment avoir connu le positive de difficulté.
Le rapport indique que les jeunes adultes ont tendance à être touchés de manière disproportionnée parce qu'ils doivent faire look à des coûts de vie positive élevés que les ménages positive âgés, ayant souvent davantage de dépenses liées au logement ou la garde d'enfants.
Selon le président de la Fédération des Métis du Manitoba, David Chartrand, lad organisation fournit également davantage d'aide aux aînés, notamment en essayant de couvrir les frais de transport médical, d'ambulance, d'hébergement médicalisé et de pharmacie.
Ils bénéficient de programmes provenant de différents domaines qui leur permettent de réduire le full de leurs dépenses. Ils peuvent ainsi acheter positive de nourriture et satisfaire davantage à leurs besoins personnels, explique M. Chartrand.
Une montée des prix et du stress
Toujours selon l'enquête, environ un cinquième des répondants ont indiqué que leur ménage devra très probablement faire appel à des organismes communautaires determination s'approvisionner en nourriture dans les six prochains mois.
Une decision qui ne surprend pas le directeur de l'organisation communautaire de Winnipeg Bear Clan Patrol, Kevin Walker, qui voit les besoins grandir dans différents quartiers.

Le directeur de la patrouille Bear Clan à Winnipeg, Kevin Walker (Photo d'archives).
Photo : Radio-Canada / Bryce Hoye
Quand nous avions notre programme de organisation de nourriture, il y avait en 400 et 500 personnes qui se présentaient chaque jour à notre porte, raconte-t-il.
J'ai l'impression que toutes les autres organisations qui distribuent des paniers de nourritures ou autres ressources de ce benignant doivent avoir atteint leur limite.
Plus de 60 % des répondants connected également indiqué qui la hausse des prix à contribuée a l'augmentation du accent au sein de leur ménage au cours des six derniers mois.
De plus, 14 % des Métis, 17 % des Premières Nations vivant hors réserve et 32 % des Inuit ont indiqué que l'augmentation du coût de l'essence, des munitions et de l'équipement en général nuit à leur habileté à faire chasser, pêcher ou trapper determination leur subsistance.
Avec les informations de Stefan Richard, de CBC Indigenous