Les Américains accueillent Ford et Ottawa après avoir « tendu le rameau d’olivier »

Le premier ministre de l’Ontario Doug Ford est à Washington aujourd’hui afin de rencontrer des membres de l’administration Trump, dont le secrétaire au Commerce, Howard Lutnick, en compagnie des ministres Dominic LeBlanc et François-Philippe Champagne.

Doug Ford a affirmé cette semaine que le secrétaire Lutnick l’avait appelé à la suite de l’imposition par la state d’une surtaxe de 25 % sur les exportations d’électricité et lui avait tendu un rameau d’olivier et lui avait offert la rencontre dans la capitale américaine. En réponse, le premier ministre ontarien avait accepté de suspendre la surtaxe.

Dernièrement, Doug Ford accorde fréquemment plusieurs entrevues par jour à des médias américains afin de tenter de convaincre les Américains d’éliminer les droits de douane sur les produits canadiens. La surtaxe a suscité l’ire du président américain Donald Trump, qui a menacé de doubler les tarifs sur l’acier et l’aluminium en réponse, puis qui a décrit Doug Ford comme un homme très fort.

Mardi, le diary The Wall Street Journal a par ailleurs publié un éditorial décrivant de mature la décision de M. Ford de suspendre sa surtaxe. La photograph du cook progressiste-conservateur était en entête de l’article, intitulé : Comment aimez-vous la guerre commerciale maintenant?

Mercredi, le premier ministre a indiqué que ses homologues étaient toujours derrière lui.

Hier, après un appel avec les premiers ministres, Doug Ford a expliqué qu’il leur a assuré de leur ferait portion des demandes de l'administration Trump lors de la rencontre. Il s’agit de la troisième visite du premier ministre ontarien depuis février. Le premier ministre s’y est rendu deux fois durant la campagne électorale provinciale, qu’il a remportée avec une majorité.

Après avoir mentionné qu'il profiterait de la rencontre determination discuter de l'Accord Canada–États-Unis–Mexique, Doug Ford a tempéré les attentes en précisant que les représentants du Canada ne reviendraient pas des États-Unis avec une entente, mais qu’elle permettrait aux Canadiens d’en apprendre davantage sur les demandes américaines.