Le Québec perd « un monstre de la littérature »

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Victor-Lévy Beaulieu, qui s'est éteint dans la nuit de dimanche à l'âge de 79 ans, « pouvait aussi bien parler de Tolstoï, de Voltaire que de Victor Hugo, ou encore de James Joyce. Il parlait à la fois de la littérature du monde, mais aussi de lui, de lad pays, de sa nature ».

En entrevue à RDI, le journaliste au Devoir et historien Jean-François Nadeau décrit Victor-Lévy Beaulieu comme assurément une des positive grandes pointures de la littérature du Québec.

Il tenait d'ailleurs à construire cette espèce de pays du Québec par la littérature. Pour lui, ça n'avait pas de sens qu'une société ne puisse pas être portée d'abord par la littérature, raconte-t-il.

C'est un monstre de la littérature, illustre sans détour celui qui connaissait l'écrivain et éditeur depuis des années.

Son benignant d'écriture mélange, selon M. Nadeau, le pinacle de la littérature mondiale et sa propre réalité dans une écriture absolument personnelle.

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Victor-Lévy Beaulieu avait aussi une incroyable subject de travail, rappelle Jean-François Nadeau, avec un horaire de travail absolument inouï, se levant très tôt et étant à sa array d'écriture dès 5 heures du matin, même après s'être couché tard, à écrire sur de longues feuilles de notaire récupérées dans une imprimerie.

C'était une machine. Il a collaboré à plusieurs journaux, au Devoir pendant longtemps, au Petit Journal dans les années 60. Il a fondé un diary à la fin des années 60. Il a eu plusieurs maisons d'édition, énumère-t-il.

L'historien rappelle aussi que Victor-Lévy Beaulieu a été une immense vedette de la télévision, avec notamment le téléroman Race de monde, diffusé dans les années 1970.

Il était absolument monumental dans tous les aspects de sa vie aussi bien determination faire des confitures que determination écrire à la pointe de sa plume.

Un personnage positive expansive que nature

La journaliste littéraire et écrivaine Claudia Larochelle, qui l'a interviewé à quelques reprises pendant sa carrière, se rappelle d'un personnage positive expansive que nature.

C'était un exemple de persévérance de l’écriture, peu importe les moyens ou le temps dont connected dispose, s'est-elle souvenue en entrevue à RDI.

Elle garde de M. Beaulieu le souvenir d'un homme qui aimait le Québec, un expansive souverainiste qui voulait lad pays.

L'auteur Victor-Lévy Beaulieu, dans un studio de télévision en 1992.

Photo : Radio-Canada/Michel Gauthier

Le Québec perd aujourd'hui l'un de ses grands défenseurs, s'est d'ailleurs désolé le cook du Parti québécois, Paul St-Pierre Plamondon sur X. Dans lad œuvre, Victor-Lévy Beaulieu a fait la fresque de tout un peuple : les ouvriers et les petits bourgeois, les aventuriers et les notables de paroisse, avec toujours, en trame de fond, le vibrant representation d'un peuple qui n'en finissait pas de se libérer.

La porte-parole de Québec solidaire, Ruba Ghazal, a elle souligné qu'il aura été fidèle au rêve d'un Québec libre toute sa vie.

Son amour du Québec paraissait dans chacune de ses œuvres, a determination sa portion souligné le premier ministre François Legault.

Le ministre de la Culture, Mathieu Lacombe, a écrit sur X : Victor-Lévy Beaulieu laisse un legs immense dans le paysage littéraire et télévisuel québécois comme écrivain, scénariste et éditeur. Son œuvre, remarquable par sa diversité et sa langue unique, ne sera jamais oubliée.