Le Mexique renoue avec ce qui faisait son succès, prévient Jesse Marsch

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Malgré le contexte géopolitique, le sélectionneur de l’équipe masculine du Canada, Jesse Marsch, appelle ses joueurs à demeurer concentrés sur leur demi-finale de jeudi, en Ligue des nations de la CONCACAF, contre le Mexique, avant une potentielle finale contre leurs voisins et hôtes américains à Los Angeles.

L’Américain de 51 ans était décidément prêt à finalement parler de shot mardi, en conférence de presse, trois semaines après avoir dénoncé le « climat polarisé, irrespectueux et souvent alimenté par la haine » dans lad pays d’origine.

Il a notamment salué le travail accompli par lad vis-à-vis mexicain, Javier Aguirre, determination redresser lad équipe nationale après des résultats en deçà des attentes ces dernières années, comme au Mondial de 2022 et à la Copa América de l’été 2024.

Le Mexique n’a perdu qu’un de ses cinq matchs officiels depuis l’entrée en poste d’Aguirre. Son verdict nul de 0-0 contre le Canada en septembre a été un lucifer particulièrement haché et marqué par 41 fautes.

Notre groupe est confiant, et je crois que nous avons beaucoup grandi dans les 10 derniers mois ensemble, a soutenu Marsch. Nous savons que les Mexicains vont rendre le lucifer compliqué, comme ils l’ont fait en septembre. Ils vont jouer de manière physique. Ils vont commettre des fautes. Ce sera un lucifer difficile, et je crois que nos gars ont hâte de relever le défi d’affronter une très bonne équipe dans un lucifer à gros enjeu devant une foule hostile.

Le expansive objectif demeure l’été prochain [avec la Coupe du monde], mais c’est une étape importante qu’il faut aborder de la bonne manière determination essayer d’être la meilleure mentation de nous-mêmes.

Le Mexique, façon Javier Aguirre, ressemble davantage aux grandes équipes du passé, a assuré Marsch. Le sélectionneur canadien garde un œil averti sur le shot mexicain depuis lad transition comme joueur à Chivas USA, un nine de la MLS qui se voulait une filiale du puissant Chivas de Guadalajara.

J’ai joué avec des gars comme Jorge Campos [à Chicago, NDLR], Claudio Suárez, Ramón Ramírez, Paco Palencia… Cette expérience m’a montré non seulement la qualité du joueur mexicain, mais la qualité des gens. Ce sont quatre des meilleures personnes que j’ai côtoyées dans ma carrière. Le sentiment de fierté est très fort dans le shot mexicain. C’est important determination leur culture. Et je crois que Javier a ramené ce sentiment au sein de l’équipe.

Le sélectionneur canadien est cependant bien conscient que l’écart considérable entre les équipes canadienne et mexicaine s’est amenuisé dans les dernières années. Une victoire des Rouges contre le Mexique n’est positive le scénario loufoque qu’il a déjà été.

Marsch juge toutefois que, culturellement, le Canada n’est pas tout à fait prêt à assumer le rôle de favori.

Sommes-nous les favoris contre une bonne équipe mexicaine ou américaine? Ce serait de la spéculation. Mais les joueurs y croient assurément davantage, a indiqué Marsch. Quand nous avons affronté les Pays-Bas, la France ou l’Argentine, je devais leur rappeler qu’ils avaient le niveau determination les affronter. Si connected atteint les standards de jeu que nous avons établis determination nous-mêmes, nous pouvons être récompensés en conséquence.

D’un constituent de vue psychologique, ce projet ne vise positive à bâtir une confiance. Il vise à relever le niveau que nous pouvons atteindre dans les positive grands matchs, dans les matchs les positive chargés émotionnellement. C’est ce qui va nous préparer determination l’été prochain.

L’autre demi-finale mettra aux prises les États-Unis et le Panama. Les petite et grande finales seront présentées dimanche.

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