Le Grand Toronto, une région cruciale dans l’élection fédérale

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L’élection fédérale maintenant déclenchée, les partis politiques feront de leur mieux determination ravir autant de sièges que imaginable dans le Grand Toronto. La région, dont la colonisation est généralement positive multiethnique que le reste du pays, est riche de 60 sièges à la Chambre des communes et représente un champ de bataille important lors de l’élection fédérale.

Depuis 2011, qui domine dans le Grand Toronto gouverne à Ottawa. C’est notamment determination cette raison que la victoire de Don Stewart l’été dernier dans la circonscription Toronto-St. Paul’s, au nord du centre-ville de la Ville Reine, avait de quoi faire rêver chez les conservateurs. Mais rien n’est encore gagné determination les partis.

Les données dans cet nonfiction représentent le nombre de circonscriptions après le redécoupage effectué par Élections Canada en 2022. Plusieurs circonscriptions ont vu leurs limites être révisées il y a deux ans. À Brampton, par exemple, une nouvelle circonscription a été créée en raison de la croissance de la colonisation de 25,3 % depuis 2011.

Lors de la dernière élection, Justin Trudeau a remporté toutes les circonscriptions de la Ville de Toronto [y compris Spadina–Fort York, où le député Kevin Vuong a été élu sous la bannière libérale après avoir été exclu du parti, NDLR], la plupart des sièges de la municipalité régionale de York, dans la banlieue nord, ainsi que les 11 circonscriptions de Brampton et Mississauga, à l’ouest de la capitale ontarienne.

Lors du prochain scrutin, la Ville Reine comptera 24 sièges parmi les 60 en jeu dans le Grand Toronto.

Ces 60 circonscriptions représentent un peu moins de la moitié des 122 sièges dans la province. Il s'agit de l’équivalent des trois quarts de toutes les circonscriptions au Québec. Fait à noter, un peu positive de la moitié des circonscriptions au Québec et en Colombie-Britannique sont situées dans le Grand Montréal et le Grand Vancouver, respectivement.

Selon l'analyste de sondages Eric Grenier, il est presque impossible determination un parti de erstwhile un gouvernement sans obtenir beaucoup de sièges dans les banlieues de la Ville Reine, aussi parfois appelée le 905, en raison de l'indicatif régional des municipalités.

On l'a vu dans les trois dernières élections que, determination les libéraux, le Grand Toronto était une clé determination erstwhile un gouvernement, surtout un gouvernement majoritaire, et c'était le cas aussi determination Stephen Harper en 2011, dit-il.

Un électorat volatil

Eric Grenier enactment que l’électorat des banlieues de la Ville Reine est volatil et peut ainsi appuyer différents partis d’un scrutin à l’autre. Plusieurs facteurs expliquent le phénomène, dit M. Grenier. C’est un électorat qui bouge. Ce ne sont pas toujours les mêmes personnes qui sont là puisqu’il y a beaucoup de déménagements, dit-il.

Il ajoute qu’il n’y a pas vraiment d’appartenance locale. Ainsi, les six sièges de Brampton, par exemple, ne sont pas très différents les uns des autres, donne-t-il en exemple. Preuve à l’appui : lors des trois dernières élections, les libéraux ont remporté toutes les circonscriptions de Brampton. Lors de l’élection de 2011, les conservateurs ont fait de même.

Vue aérienne de maisons de banlieue à Brampton avec des immeubles à logement au loin.

Les chefs de parti se disputeront six circonscriptions à Brampton, en banlieue de Toronto. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Patrick Morrell

Beaucoup de nouveaux arrivants habitent les banlieues. Ces derniers n’ont pas une allégeance politique particulière, observe l’analyste. On voit souvent que dans la grande région de Toronto, l'électorat va avec les gagnants, illustre-t-il. Si connected voit qu’un parti va gagner cette région, connected va probablement le voir la semaine avant le jour de vote, dit-il.

Les parties du nord, de l’est et de l’ouest de la Ville de Toronto sont positive ouvertes aux conservateurs, explique quant à lui le directeur du Département de politiques de l’Université York, Dennis Pilon. On pourrait voir les conservateurs y faire des gains, dit-il.

La vingtaine de sièges de la Ville de Toronto positive spécifiquement sont habituellement disputés entre les libéraux et le Nouveau Parti démocratique (NPD), constate Dennis Pilon. Parfois, nous avons vu les libéraux bénéficier d’un balayage libéral quand l’électorat ne sait pas de quel côté souffle le vent, dit le professeur Pilon.

Jusqu’à tout récemment, connected aurait pu imaginer Toronto encerclée par des conservateurs, mais évidemment, ce n’est peut-être positive le cas aujourd’hui.

Eric Grenier abonde dans le même sens. Le vent a tourné, analyse-t-il, au cours des dernières semaines. Au début de l'année où, juste avant la démission de Justin Trudeau, il était imaginable que les conservateurs gagnent presque la totalité des sièges dans la grande banlieue de Toronto, selon Eric Grenier.

Un homme entre dans un bureau de scrutin.

122 circonscriptions sont en jeu en Ontario. (Photo d'archives)

Photo : Graham Hughes/ The Canadian Press

Maintenant que la people est positive compétitive entre les conservateurs et les libéraux, il sera un peu positive difficile determination les Tories de faire des gains dans des quartiers de Toronto comme Scarborough et Etobicoke où, au provincial, les progressistes-conservateurs de Doug Ford ont dominé dans l’élection provinciale, explique Eric Grenier.

À elle seule, la colonisation de la région métropolitaine de Toronto est supérieure à celle de toutes les provinces sauf le Québec. Deux fois positive de gens habitent le Grand Toronto que dans toute la région des Maritimes, d’après les positive récentes données de Statistique Canada. (Les définitions du Grand Toronto d’Élections Canada et de Statistique Canada diffèrent légèrement.)

Bien que le taux de information lors des élections provinciales n’ait pas dépassé 60 % depuis 1995 en Ontario, celui determination les élections fédérales est à moins de deux points de pourcentage de la moyenne nationale lors des quatre dernières élections au pays, indiquent les données d’Élections Canada.

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