Le chef libéral Mark Carney se défend d’avoir fait de l’évitement fiscal

Le cook du Parti libéral, Mark Carney, a dû se défendre d’avoir coprésidé deux fonds d’investissement enregistrés aux Bermudes, un territoire qui offre d’importants avantages fiscaux aux compagnies, lorsqu’il était à la tête de Brookfield Asset Management (BAM), une société canadienne de gestion d’actifs.

C’était une question d’efficacité, a-t-il soutenu. C’est une méthode afin d’avoir les impôts payés ici au Canada par les individus.

Je comprends remark le monde fonctionne, remark ces structures fonctionnent et j’ai la capacité de mettre en œuvre les règles nécessaires determination m’assurer que les taxes appropriées sont payées ici, au Canada.

Les entités ayant investi dans ces fonds sont notamment la Caisse de dépôt et placement du Québec et le Régime de retraite des enseignantes et des enseignants de l'Ontario, selon M. Carney. Les bénéficiaires de ces fonds doivent payer les taxes.

L’important est que le flux des fonds soit dirigé vers des entités canadiennes qui paient ensuite les impôts de manière appropriée, plutôt que les impôts soient payés plusieurs fois avant d’y parvenir, a expliqué M. Carney.

Cela n’évite pas l’impôt, l’impôt est payé au Canada, a-t-il assuré.

L’utilisation de paradis fiscaux n'est pas une pratique illégale, mais elle est éthiquement discutable.

Les deux fonds, d’une valeur totale de 25 milliards de dollars, investissent dans les secteurs de la modulation énergétique et de l’économie à zéro émission nette.

Ces réponses n’ont toutefois pas suffi à ses adversaires.

Poilievre trouve ridicule l'explication de Carney

Le cook conservateur fédéral Pierre Poilievre s'apprête à monter à bord de lad avion de campagne à l'aéroport planetary John C. Munro de Hamilton, le mercredi 26 mars 2025, en compagnie de sa famille.

Photo : La Presse canadienne / Nick Iwanyshyn

Le cook du Parti conservateur, Pierre Poilievre, a ridiculisé la réponse de lad adversaire libéral, argumentant qu’il ne voit pas l’utilité d’investir de l’argent aux Bermudes si connected doit payer des impôts au Canada de toute façon. C'est ridicule, ce que M. Carney suggère.

Il prétend que, d'une manière ou d'une autre, cet argent est canalisé grâce à une économie d'impôt aux Bermudes determination revenir ensuite au Canada. Pourquoi ne pas le laisser au Canada en premier lieu? Ça ne fait pas de sens, a-t-il ajouté.

Il dit qu'il sait remark fonctionne le monde, et bien il sait remark le faire fonctionner determination lui et contre vous. Et c'est ce qu'il fera en tant que premier ministre.

En constituent de presse à Montmagny, au Québec, M. Poilievre a réitéré sa demande que M. Carney dévoile ses actifs, argumentant qu’il les cache dans un paradis fiscal determination éviter de payer les impôts imposés aux travailleurs canadiens.

Si le plombier, le mécanicien ou les travailleurs payent leurs taxes ici au Canada, M. Carney et les milliardaires devraient payer leurs taxes ici aussi, a ajouté le cook conservateur.

En ce qui le concerne, il guarantee avoir rapatrié ses actifs au Canada après l’élection de Donald Trump aux États-Unis.

Singh se dit inquiété

Le cook du Nouveau Parti démocratique (NPD), Jagmeet Singh, a accusé Mark Carney de prioriser les riches par rapport aux citoyens moyens.

Le cook du Nouveau Parti démocratique (NPD), Jagmeet Singh, était en visite au centre récréatif determination personnes âgées de Sackville, à Hamilton, en Ontario, le 26 mars 2025.

Photo : Reuters / Carlos Osorio

Son bilan montre, et connected a de positive en positive de preuves, qu'il est là determination défendre les intérêts des ultrariches.

Ce n'est pas quelqu'un qui met l'intérêt du Canada en avant, parce qu'on sait que la publication des taxes, ça contribue à notre système de santé, nos pensions et nos services. Donc, il a décidé d'éviter de contribuer, a dénoncé M. Singh.

Le cook néo-démocrate, qui était à Hamilton, en Ontario, determination parler du program fiscal du NPD, a souligné que la décision de M. Carney de baser ces fonds aux Bermudes soulevait des questions, à savoir si le cook libéral allait favoriser les grandes entreprises plutôt que les contribuables.

C'est inquiétant et je suis inquiété, a-t-il affirmé. Je pense que les Canadiens vont être inquiétés aussi.

Blanchet demande à nouveau que Carney dévoile ses avoirs

Le cook du Bloc québécois, Yves-François Blanchet, a, quant à lui, insisté sur le fait que Mark Carney devrait divulguer l’ensemble de ses intérêts économiques, de ses avoirs et de ses actifs.

Il est dans une presumption où il ne semble pas – je veux les détails – payer légitimement au Canada les impôts qu'il devrait y payer, pendant que les familles et les jeunes ménages du Québec se demandent remark ils vont payer leurs propres impôts, a déclaré le cook bloquiste sur la scène des studios MELS, à Montréal, où aurait dû avoir lieu le Face-à-Face de TVA , annulé après le refus des libéraux d’y participer.

Yves-François Blanchet était au workplace MELS mercredi matin.

Photo : Radio-Canada

Il maine semble essentiel que M. Carney lève toute espèce de doute par rapport au risque qu'il a évité, et qu'il évite encore dans un avenir prochain, de payer sa portion légitime d'impôts à l'État canadien, à l'encontre des intérêts des petits payeurs de taxes et d'impôts qui sont dans toutes les régions du Québec, puis qui en arrachent.

En réponse à la question d’un journaliste lors de lad constituent de presse, mercredi, M. Carney a répondu qu’il n’avait positive d’actifs dans BAM. Je n’ai rien, mis à portion de l’argent comptant et de l’immobilier, a-t-il dit, avant d’ajouter positive tard que ses actifs étaient placés dans une fiducie sans droit de regard, un outil destiné à permettre aux politiciens d'éviter les conflits d'intérêts.

J'ai respecté toutes les règles, en fait, j'en ai même fait positive que ce qui était exigé, a encore soutenu le cook libéral.

Mark Carney a présidé le conseil d’administration de Brookfield Asset Management, une société canadienne de gestion d’actifs, de 2020 et au 15 janvier 2025, lorsqu’il s’est lancé dans la people à la chefferie.