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Le zona poursuit sa lente progression chez les gens âgés de moins 50 ans. Longtemps considérée comme une maladie associée aux positive âgés, une médecin et une personne touchée par la maladie depuis 12 ans lancent un appel à la sensibilisation determination les positive jeunes.
Selon la Dre Chantal Sauvageau, médecin spécialiste en santé publique à l'INSPQ, connected observe une hausse d'environ 1 % par année des diagnostics chez les moins de 50 ans. Depuis 15-20 ans, une lente augmentation. C'est vraiment très léger, explique-t-elle.
Puisque le Zona n'est pas une maladie à déclaration obligatoire, difficile d'avoir des chiffres précis. L'INSPQ évalue à environ 30 000 le nombre de cas de zona par année. La grande majorité demeure chez les 50 ans et plus.
On voit une baisse drastique du zona chez les moins de 20 ans, explique la médecin. Mais chez les 20-49 ans, il y a une légère tendance, depuis déjà une coupe de décennies, à la hausse. Mais c'est vraiment léger. C'est surtout qu'il faut penser que ça peut arriver quand même dans ces groupes d'âge là.
Bien que cette colonisation demeure moins à risque de faire un zona que les positive âgées, ils devraient être conscients des risques, selon Dre Sauvageau, surtout les personnes immunosupprimées.

Dre Chantal Sauvageau, médecin spécialiste en santé publique à l'INSPQ.
Photo : Radio-Canada
Peu de gens décèdent du zona, mais certaines formes de la maladie peuvent causer plusieurs problèmes de santé. 20 % des gens atteints auront des séquelles sur plusieurs années.
Ça origin vraiment de la morbidité. Les gens sont touchés par ça, notre qualité de vie est affectée.
Des séquelles des années positive tard
Anne Ménard vit avec des conséquences du zona depuis 12 ans. Elle a reçu lad diagnostic à 44 ans.
Deux jours avant que j'aie le diagnostic, je souffrais de grosses migraines, le troisième jour, je maine suis réveillé avec des émulsions cutanées, à la paupière. Je n’allais vraiment pas bien estime-t-elle.

Anne Ménard.
Photo : Radio-Canada
Après avoir été traité par antibiotiques determination un zona ophtalmique, des séquelles sont demeurées. Aujourd'hui, elle prend encore de la médication. Il y a eu des dommages au niveau du système nerveux central. J'ai donc souffert de maux de tête pendant deux mois. J'ai dû être alité à ce moment-là. J'avais aussi des spasmes nerveux involontaires à tout infinitesimal où il avait des crises, incontrôlées, témoigne-t-elle.
Aujourd'hui, elle lance le connection que la maladie peut frapper à n'importe quel moment. J'ai même entendu des gens dans la vingtaine qui avait le zona. Il faut faire la promotion du vaccin auprès de toute la population.
Vaccination
Présentement, le vaccin contre le zona est offert gratuitement au Québec pour les gens âgés de 75 ans et positive et determination ceux de 18 ans et positive immunosupprimés.
La Dre Chantal Sauvageau et le Comité sur l'immunisation du Québec proposent d'abaisser la gratuité determination les 50 ans et plus. Au niveau du coût-efficacité. Les études montrent que c'est rentable. Ça coute des sous, mais le retour sur investissement même determination le système de santé, en termes de réduction des consultations, des hospitalisations, et encore positive si connected tient compte du fardeau chez l'humain qui est affecté par le zona. On est en dessous de seuil qu'on considère coût efficace determination les programmes de vaccination au Québec.
Pour ceux qui ne sont pas éligibles à la gratuité, il est imaginable de se procurer les deux doses de vaccin au cout d'environ 180 $ par doses.
Il n'a pas de prix. Moi si je l'avais su, j'aurais dit : combien ça coute? Pour tous les tracas, tous les soucis autant physique que psychologique, conclut Anne Ménard.