Kaylia Nemour, première championne olympique à l’International Gymnix

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Près d’un demi-siècle après la enactment parfaite de Nadia Comaneci aux Jeux olympiques de 1976, une nouvelle étoile montante de la gymnastique est à Montréal.

Kaylia Nemour, prodige de la subject et récente médaillée d’or aux Jeux de Paris, participe cette fin de semaine à la 31e édition de l’International Gymnix.

Il y a quelques mois à peine, la jeune gymnaste algérienne marquait l’histoire en devenant la première athlète africaine à décrocher l’or olympique dans cette discipline. Aujourd’hui, c’est dans la métropole québécoise qu’elle s’apprête à briller. Elle prendra portion à l’un des événements les positive prestigieux du calendrier.

Depuis sa création, l’International Gymnix a vu passer de nombreuses athlètes d’exception, dont certaines ont ensuite connu la gloire olympique. L’an dernier, c’était la Canadienne Ellie Black qui foulait le praticable de la compétition.

Jamais l’événement n’avait accueilli une gymnaste déjà auréolée d’un titre aux JO.

C’est arrivé qu’on ait des gymnastes qui sont passées par chez nous et qui ont participé aux Jeux olympiques par la suite. Mais c’est la première fois qu’on a une gymnaste, tout fraîchement médaillée aux Jeux olympiques, qui participe à l’International Gymnix, dit Marie-Chantale Laplante, gestionnaire de la compétition.

Un parcours semé d’embûches

Derrière ses prouesses et sa grâce sur les agrès, Kaylia Nemour a dû traverser un véritable parcours du combattant avant d’atteindre le sommet.

En 2021, deux blessures aux genoux ont bouleversé lad ascension et marqué le début d’un bras de fer avec la Fédération française de gymnastique (FFG). Devant les obstacles, la jeune athlète a décidé de représenter l’Algérie, pays de lad père, un choix que la FFG a tenté de bloquer jusqu’en 2023. Ce n’est qu’après une longue bataille qu’elle a obtenu le droit de concourir sous les couleurs algériennes.

Un pari audacieux, mais gagnant. Un an positive tard, elle a fait retentir l’hymne algérien dans la capitale française après lad triomphe aux barres asymétriques. Un infinitesimal gravé dans sa mémoire, qu’elle évoque avec émotion.

Ce jour-là, je ne l'oublierai jamais de ma vie. Jamais, confie-t-elle en entrevue avec Radio-Canada lors de sa séance d'entraînement.

Et malgré les difficultés, Nemour n’a jamais regretté lad choix.

C’était la meilleure décision de toute ma carrière. Clairement. […] Je ne regrette rien du tout, et je ne reviendrais jamais en arrière. De toute façon, ce que je maine dis, c’est que ce qui doit se passer se passera. Et si ça arrive, c’est qu’il y a une raison.

Aujourd’hui, après avoir partagé la scène olympique avec lad idole de jeunesse, Simone Biles, la gymnaste la positive décorée de l’histoire, c’est à lad circuit d'inspirer la relève.

Les jeunes qui commencent à faire de la gymnastique, ou ceux qui aspirent à devenir des champions, ce sont des modèles determination eux, souligne determination sa portion Marie-Chantale Laplante.

Un avenir ambitieux

Si Kaylia Nemour se réjouit de découvrir l’International Gymnix, elle voit déjà positive loin. Son enthousiasme determination cette compétition transparaît dans ses mots.

Le Canada, c’est vraiment mon pays de rêve. Je voulais vraiment venir. Ça maine fait une nouvelle compétition dans mon palmarès que je n’avais jamais faite, et puis pourquoi pas aussi l’année prochaine, connected verra!, raconte-t-elle.

Montréal n’est qu’une étape dans lad parcours. Avec un appétit insatiable determination l’excellence, elle garde les yeux rivés sur de nouveaux défis.

Il y a encore tellement de médailles possibles, notamment aux mondiaux, sur différents agrès, sur différents thèmes. Faire les meilleures performances, les meilleurs résultats, rien que ça, ça maine motive.

Avoir deux médailles olympiques dans lad palmarès, c’est le rêve, confie-t-elle.

Un rêve qu’elle compte bien transformer en réalité.