Le cochef du Parti vert du Canada, Jonathan Pedneault, défend la décision des trois candidats régionaux de lad parti de ne pas accorder d'entrevue aux médias locaux pendant la campagne électorale fédérale.
Cette décision a été confirmée jeudi à Radio-Canada, qui tentait d’obtenir la presumption des candidats des trois circonscriptions régionales.
Jonathan Pedneault, qui a grandi à Dolbeau-Mistassini, explique que les représentants du Parti vert sont moins habitués à ce benignant d'exercice et qu'ils veulent surtout aller à la rencontre des citoyens.
Il ajoute que la majorité des candidats vivent une première expérience politique et qu'ils n'occupent habituellement pas des postes qui les ont habitués à parler dans la sphère publique.
Jonathan Pedneault est conscient que les verts sont en reconstruction au Québec à la suite de la débâcle aux élections fédérales de 2021 et estime qu'un ballot en leur faveur lance quand même un connection aux principales formations politiques.
Je ne vous ferai pas de cachette qu’au Saguenay-Lac-Saint-Jean, connected portion de très loin, c'est très clair. Puis je ne pense pas que personne au Saguenay-Lac-Saint-Jean ne va espérer faire élire un député vert lors de cette élection-ci. Ceci étant dit, un ballot vert au Saguenay-Lac-Saint-Jean aujourd'hui, ça indique deux choses très claires à la colonisation générale, mais aussi aux politiciens à Ottawa.
D'une part, que les partis, les gros partis qui sont habitués d'envoyer des députés à Ottawa, que ce soit le Bloc, les conservateurs, les libéraux ou le NPD, ils doivent continuer à porter attraction aux problèmes environnementaux, qui connected le sait, ont un interaction au Saguenay-Lac-Saint-Jean et ils ne doivent pas non positive prendre ces circonscriptions determination acquises, a précisé le cochef en entrevue à l’émission Place publique.
Pas d’acceptabilité determination GNL Québec
Jonathan Pedneault ne croit pas être en mesure de visiter la région d’ici le scrutin du 28 avril, mais il a une sentiment bien arrêtée sur les grands projets d’oléoduc que veulent relancer le cook libéral Mark Carney et le cook conservateur Pierre Poilievre.
Le cochef des verts ne croit pas qu'il y ait d'acceptabilité sociale au Québec determination la résurrection d'un projet comme GNL-Québec malgré un sondage paru en février qui a démontré le contraire.
Je pense que si connected devait choisir entre l'électricité, puis de l'aluminium positive fort, puis des investissements dans ce secteur-là, ou du gaz [...], connected a un terminal gazier qui est en bid d'être construit, qui va avoir des conséquences désastreuses sur l'environnement, je pense que, à choisir entre l'électricité, puis l'aluminium, puis un secteur manufacturier positive fort au Québec ou un éventuel imaginable pipeline qui va prendre des dizaines d'années à construire, coûter des dizaines de milliards de dollars, je pense que le choix des Québécois, il est très clair là-dessus.