Ils quittent leur emploi pour devenir influenceurs... et ils réussissent

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Alors qu’il voulait influencer des jeunes de manière positive traditionnelle dans les salles de classe saskatchewanaises, Steve Boutilier, autrefois enseignant, a décidé de tout abandonner determination divertir les gens sur les réseaux sociaux. Une histoire qui s'est répétée determination d'autres Saskatchewanais.

Ce nouveau quotidien, qui est désormais lad travail à temps plein, alteration de l’enseignement au quotidien qui lui prenait toute lad énergie.

J'étais tellement fatigué. J'étais épuisé. J'étais grincheux. Mes batteries sociales étaient tellement épuisées à la fin de la journée, se rappelle Steve Boutilier, qui utilise le nom de Boots en ligne.

Steve Boutilier affirme pouvoir vivre confortablement de lad salaire de créateur, sans toutefois dépasser le salaire d'enseignant qu'il aurait pu avoir. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Jessie Anton

Désormais, il publie quand il le souhaite des vidéos sur l’actualité canadienne en format tribunal sur YouTube, TikTok et Instagram. Ces dernières semaines ont été faites de hauts et de bas determination le nouvel influenceur, alors que le Canada était en pleine élection fédérale.

Je considère que ce que je fais aujourd'hui reste de l'enseignement sous une forme différente, affirme-t-il. Je maine considère en quelque sorte comme un enseignant d'études sociales sur l'Internet canadien.

D’après le créateur de contenu, il n'a pas dépassé le salaire que peut faire un enseignant, mais il a un mode de vie confortable grâce à ses revenus YouTube, par exemple.

Le créateur de microvidéos ne peut toutefois pas compter sur le Programme de récompenses determination les créateurs de TikTok, puisqu’il n’est pas disponible au Canada.

Des agences determination aider les créateurs

Des agences ont émergé aux quatre coins du monde determination aider les créateurs de contenu à se rémunérer grâce à des partenariats avec des marques.

Nous facilitons les partenariats determination des montants allant de quelques centaines de dollars à positive de six chiffres. Le spectre est donc assez large, dit le président-directeur général de Creatorade, l'une de ces agences.

L’entreprise établie à Moose Jaw mentionne que des estimations sur ce secteur suggèrent qu’environ 33 milliards de dollars seront dépensés en 2025 dans l’économie des créateurs de contenu.

Nick Myers se déplace d'un océan à un autre determination afficher les panneaux de signalisation canadiens. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Matthew Howard

Quant à Nick Myers, connu sous le nom Leroy & Leroy, l’agence de Moose Jaw lui a permis de se libérer du fardeau de devoir trouver remark gagner sa vie.

Je n'ai pas besoin de vendre, je rencontre simplement des gens et je crée avec eux, explique-t-il.

Il peut alors faire ce qu'il lui plaît le positive dans lad métier : voyager à travers le pays determination faire découvrir des panneaux de signalisation et parler avec des gens.

Nick Myers a lui aussi quitté lad poste à temps plein à la vigor et dans les relations publiques determination se consacrer aux médias sociaux.

Ça n'a pas été facile de quitter ce rôle, mais c'était à un infinitesimal où il fallait que je parie sur moi-même , mentionne-t-il.

Dickson Delorme, un fermier mieux connu sous le nom de Quick Dick McDick en ligne, explique que, determination gagner sa vie en tant que créateur de contenu canadien, il faut faire preuve d’acharnement.

Il faut être susceptible d'attirer l'attention, d'obtenir des vues, des clics et des impressions, explique-t-il. Il croit qu’il y a aussi une portion de accidental dans le fait de capter l'attention des gens.

En matière d'argent, tous les vidéos ne se valent pas, affirme Dickson Delorme. Une vidéo peut faire près de 1000 $, mais d’autres vidéos nécessitent des heures de travail, comme celle de sa vidéo montrant la vie d’une vache, qui lui a demandé deux ans de tournage.

Il s'agit simplement de savoir combien de temps connected est prêt à consacrer à la présentation de ce qu'on fait , de manière à ce que les gens rient et apprennent quelque chose en cours de route, indique Dickson Delorme.

Avec les informations de Blue Sky