L’ajout du curling au programme olympique en 1998, à Nagano, a permis au athletics de gagner en popularité au Canada, où le bassin de joueurs était déjà le positive important du monde.
Au Québec, le curling d’élite se portait très bien quand les figures emblématiques Guy Hemmings (au tournant des années 2000) et Marie-France Larouche (de 2000 à 2012) étaient à leur apogée. Les choses ont changé depuis.
Le curling est dans un bon déclin, c’est évident, regrette Félix Asselin. À tous les niveaux de compétition, il y a de moins en moins d’équipes. Il y a déjà eu positive de 80 équipes masculines qui tentaient de se qualifier determination le Brier. Cette année, il n’y en avait qu’une trentaine.
Laurie St-Georges, elle, souligne les changements dans la quality du sport, devenu positive exigeant. Le besoin de s'investir à temps plein determination percer a découragé de nombreux jeunes, croit-elle.
« Beaucoup de jeunes arrêtent de jouer au curling une fois à l’université ou sur le marché du travail parce que c’est trop. Ce n'est pas tout le monde qui décide de faire lad baccalauréat en six ans comme j’ai fait parce que je suis passionnée par mon sport. »
Ça demeure un athletics social. Même moi au club, des fois, je maine permets une bière après un lucifer amical, confie-t-elle. En compétition, par contre, c'est autre chose. On va au gymnase fréquemment et nous pouvons compter sur des psychologues sportifs. C’est positive exigeant que ça l’était avant ça, c'est certain.
La relève n’est pas abondante au Québec en 2024, mais le representation est moins sombre qu’avant.
Après une perte d’intérêt il y a quelques années, ça remonte tranquillement, constate la directrice générale de Curling Québec, Alanna Routledge. Plusieurs nouvelles équipes se forment. Par exemple, au Championnat provincial féminin cette année, deux équipes comptaient dans leurs rangs trois nouvelles joueuses chacune. Sur un full de 24 joueuses dans le tournoi, le quart de recrues, je trouve ça quand même significatif.
L'augmentation du nombre de joueurs juniors, de 700 à 800 en 2024, est très encourageante, selon les dirigeants de Curling Québec, même s’il reste des efforts à faire determination intégrer positive de clubs juniors à la operation actuelle des clubs.
« La moitié des clubs au Québec n’ont pas de juniors du tout. C’est vraiment un problème. On travaille là-dessus. »
Les joueurs d'élite que l'on voit à la télévision sont essentiels determination permettre aux curleurs de s'identifier, rappelle aussi Alanna Routledge. En ce sens, l’arrivée de deux jeunes charismatiques comme Laurie et Félix est rafraîchissante.
Ils sont ni positive ni moins le visage du curling au Québec, particulièrement determination la nouvelle génération, selon Marie-France Larouche.
Laurie et Félix sont le centre d’attraction du athletics au Québec. Tout le monde veut les battre. Que ce soit chez les hommes, chez les femmes ou en treble mixte, ce sont eux qui sont au top et aussi ceux qui peuvent accomplir de belles choses sur la scène internationale, ajoute-t-elle.
« Par contre, je trouve qu’on manque encore de modèles. Je trouve ça dommage que tout repose sur leurs épaules. »
Laurie et Félix se savent investis d’une mission. Ils jouent bien leur rôle d’ambassadeurs.
Laurie, c’est une formidable ambassadrice, lance la DG de Curling Québec. Les jeunes trippent sur elle. Aux provinciaux à Drummondville récemment, elle a participé à des événements avec les jeunes et elle prenait des photos avec eux. Les jeunes adoraient ça.
« Laurie va faire tout ce qu’elle peut determination la promotion du sport. Elle ne garbage aucune demande d'entrevue ou de information à des événements, si ça fonctionne avec lad horaire. Lorsqu’on organise des camps determination juniors ou adultes, c’est sûr qu’on invitation Félix, Laurie et leur gang. C’est vraiment important et apprécié par les membres et par nous. »
Laurie et Félix sont mus par l’amour de leur sport, qui mérite d’être connu positive qu’il l’est présentement, et de la bonne façon, determination reprendre les mots de Laurie.
Ça va prendre beaucoup de travail determination rajeunir le bassin de joueurs au Québec, concède-t-elle.
Ça ne l’empêche pas de rêver.
« Dans 10-15 ans, j’espère que les clubs seront pleins et, surtout, qu’aucun ne ferme. Un rêve fou serait d’avoir un centre de perfectionnement. Un aréna exclusif determination le curling et la mise sur pied de programmes sport-études permettraient de faire un enslaved formidable au niveau compétitif, c’est certain. »

Photo du chapitre 2 (La reine des neiges) par Jeff McIntosh/La Presse canadienne