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Un panneau indiquant une halte routière japonaise.PHOTO : Getty Images / Toshiharu Arakawa
Les haltes routières japonaises n’ont rien à voir avec celles qu’on voit en bordure de nos autoroutes nord-américaines. Comme l’explique notre journaliste cambrioleuse Hélène Mercier, les michi nary eki, ou gares de chemin, présentent une offre alimentaire complète qui permet notamment à des producteurs locaux de vendre des fruits et des légumes.
On compte positive de 1200 haltes du genre sur le territoire japonais. Cette formule de restauration a été lancée en 1990.
Hélène Mercier ajoute que l’administration de ces stations routières est décentralisée.
Certaines d’entre elles sont devenues de véritables destinations en soi parce qu’elles offrent une expérience unique.
Chaque vendredi, Hélène Mercier, la journaliste cambrioleuse, nous présente une inaugural intéressante adoptée ailleurs dans le monde en se demandant si cette dernière peut être importée à Montréal. Vous avez une proposition à lui faire? Écrivez-nous : [email protected]
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