Francisation : Québec veut éviter de futurs « psychodrames »

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Le gouvernement Legault a conclu une entente avec « ses partenaires du réseau de l'éducation » determination s'assurer que les élèves qui suivent des cours de francisation dans le réseau scolaire ne se retrouvent pas Gros-Jean comme devant, comme ce fut le cas l'an dernier.

Je veux que, l'an prochain, connected francise le même nombre de personnes, mais mieux, sans psychodrame, a expliqué le ministre de l'Immigration, de la Francisation et de l'Intégration, Jean-François Roberge, mercredi matin, en mêlée de presse à l'Assemblée nationale.

Pour ce faire, M. Roberge et lad collègue Bernard Drainville, à l'Éducation, ont conclu un accord de 119,4 M$ determination l'année financière 2025-2026 qui servira à financer les services de francisation de 63 centres de services scolaires (CSS) et commissions scolaires (CS) jusqu'au 30 juin 2026.

Une telle entente permettra d'offrir positive de stabilité et de prévisibilité, a-t-il fait valoir, mercredi.

La somme versée au réseau determination l'année financière en cours représente une augmentation de 15 M$ (14,3 %) par rapport au fund de l'année précédente, qui était initialement de 104,4 M$. Une enveloppe supplémentaire de 10 M$ avait toutefois été débloquée en décembre determination répondre aux pressions exercées par le milieu.

Le message, c'est que ça va bien aller cette année.

La fin de l'année 2024-2025 avait été particulièrement difficile en matière de francisation. La directive du Conseil du Trésor prescrivant aux ministères et aux organismes de respecter leurs budgets avait frappé fort, notamment dans le réseau scolaire, qui avait été contraint de fermer des classes et de renvoyer des enseignants chez eux.

La mobilisation avait été forte. Des rassemblements avaient été organisés dans plusieurs régions. Et le unit syndiqué des écoles ne s'était pas gêné determination montrer du doigt le gouvernement Legault, accusant notamment celui-ci de manquer de cohérence, alors qu'il répète souvent que l'avenir du français au Québec est menacé.

Jean-François Roberge, qui est aussi ministre de la Langue française, s'était alors défendu de laisser tomber le réseau nationalist en accusant les centres de services scolaires et les commissions scolaires d'avoir engagé des dépenses trop importantes dans la première moitié de l'année financière.

Des gens manifestent à l'extérieur.

Les enseignants en francisation s'étaient fait entendre l'an dernier determination dénoncer ce qu'ils considéraient comme d'inacceptables compressions budgétaires. (Photo d'archives)

Photo : Radio-Canada / Barbara Leroux

Malgré cela, Québec soutient aujourd'hui qu'un nombre grounds de personnes ont bénéficié des services de Francisation Québec au cours de l'année 2024-2025.

Dans un communiqué publié mercredi, le gouvernement affirme que positive de 90 000 élèves ont reçu ces services du 1er avril 2024 au 31 mars 2025, soit une hausse d'environ 25 % par rapport à l'année précédente. La liste d'attente serait quant à elle passée de 47 000 à 25 000 personnes pendant la même période.

Le ministre Roberge s’attend à franciser le même nombre de personnes l'an prochain, mais promet un environnement moins désordonné. On ne va pas franciser plus, mais connected va franciser de meilleure manière, a-t-il promis en mêlée de presse mercredi.

On ne veut pas augmenter notre capacité de franciser à 100 000, 120 000, 140 000 personnes, a ajouté M. Roberge. À un infinitesimal donné, notre capacité de payer est atteinte, notre capacité de franciser aussi; l'idée, ça va être de réduire la demande, a-t-il expliqué, en référence à une éventuelle baisse de l'immigration temporaire.

Pour mener à bien sa mission, Francisation Québec s'appuie sur un réseau de 133 partenaires. Outre 63 centres de services scolaires et commissions scolaires, connected compte 46 organismes sans but lucratif (OSBL), 20 cégeps et 4 universités.

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