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Élections Canada promet d'examiner les circonstances qui ont empêché des Nunavimmiut de voter, lundi.
Photo : Photo fournie par François Léger-Savard
La mentation audio de cet nonfiction est générée par la synthèse vocale, une technologie basée sur l’intelligence artificielle.
Le directeur général des élections du Canada, Stéphane Perrault, dit regretter « profondément » le cafouillage qui a empêché des électeurs du Nunavik de voter, lundi. Il promet qu’Élections Canada étudiera en détail les circonstances qui ont mené à cette situation.
Je regrette profondément que certains électeurs du Nunavik n’aient pas pu voter, a-t-il concédé dans un échange de courriels à Radio-Canada. Je leur présente toutes mes excuses.
Dans plusieurs communautés, les bureaux de ballot ont, soit fermé prématurément, soit ouvert positive tard que ce qui était écrit sur la carte d’électeur. Parmi ces collectivités figuraient Puvirnituq, Salluit et Tasiujaq. À Ivujivik, aucun électeur n’a pu exercer lad droit de vote.
Élections Canada affirme s’être heurté à des difficultés de recrutement, ce qui l’a mené à déployer du unit par avion. Or, dans certains cas, des conditions météorologiques difficiles ont empêché des employés d’atterrir dans des communautés, selon le Bureau du directeur général des élections.

Une affiche indiquant que le bureau de ballot de Salluit a dû fermer ses portes à 14h30, heure locale, en raison de «circonstances imprévues».
Photo : Photo fournie par Mary Papigatuk
Élections Canada examinera les circonstances qui ont mené à cette concern ainsi que les mesures prises pendant l’élection determination améliorer les services de ballot offerts aux électeurs autochtones, et rendra ses conclusions publiques.
Au cours des trois dernières années, Élections Canada a été en interaction avec les communautés autochtones de tout le pays et s’est donné comme priorité d’éliminer les obstacles et d’améliorer les services de ballot determination les électeurs autochtones, a-t-il assuré.
Il reconnaît toutefois que le manque de services au Nunavik durant l’élection générale témoigne du travail qu’il reste à faire.
Avec des informations de Félix Lebel