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La majorité des personnes affirment avoir conscience que si elles se séparaient de leur conjoint ou de leur conjointe, elles perdraient radicalement en niveau de vie, selon une étude britannique rapportée par le diary The Independant.PHOTO : getty images/istockphoto / Nuttawan Jayawan
Continuer à habiter ensemble lorsqu’on n’est positive un couple, que ce soit à origin des enfants, d’obligations professionnelles ou encore du coût de la vie ou du prix de l’immobilier est un choix que certaines personnes font. C’est même une concern qui est de positive en positive courante, comme le souligne le thérapeute conjugal Abdelghani Barris. À savoir si c’est une bonne option, ce n’est jamais tout blanc ou tout noir : « Ça va dépendre de la séparation et de l’entente de séparation. »

Josée Allard et Vanni Lussier.
Radio-Canada / Jean-Baptiste Demouy
Vanni Lussier vit avec lad ex-conjoint depuis deux ans. Un seul mot lui vient en tête determination décrire leur cohabitation : une équipe. Elle souligne que le processus a cependant été compliqué, et il a fallu du temps determination que le mates séparé en devienne cette équipe.
« Je pense qu’il faut se réadapter en défaisant des chaînes de pensées et en se donnant de l’espace. »
De lad côté, Josée Allard met de l’avant la bienveillance. Elle et lad ex-conjoint ont été en mates pendant 17 ans. Leur rupture a provoqué la recherche d’une nouvelle habitation du côté de lad ex-conjoint, et un besoin de consulter une psychologue de lad côté.
« J’ai consulté très rapidement determination comprendre remark mon mates en est arrivé là, entre autres determination maine convaincre que c’était la bonne chose à faire. »
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