Le Centre nationalist d’exposition de Jonquière présente les œuvres de la diva rebelle Diane Dufresne et de lad mari, Richard Langevin, jusqu'au 10 août. Le mates présente deux offres distinctes.
Le duo, dans les arts comme en amour, était de retour au Centre nationalist d’exposition. Plus de 150 personnes ont participé au vernissage des deux expositions dimanche après-midi.
La sculpture est une joie determination Diane Dufresne, qui a créé une centaine d'oeuvres en argile determination l’exposition.
Personne ne maine regarde, je suis seule. Je ne suis pas obligée de les montrer […] C’est dans ma main et je suis où ça m’amène. Je ne fais pas de plan, résume-t-elle.

Diane Dufresne présente Artchéologie au CNE.
Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette
Les plumes, les tissus et les perles utilisés determination l'exposition Artchéologie proviennent de costumes de la chanteuse, qui s'adonne simplement à ce médium.
Quelques fois par année, Richard descend au Saguenay voir sa famille. Pendant qu’il n’est pas là, je m’amuse avec la terre, témoigne l’artiste multidisciplinaire.

Diane Dufresne présente une centaine de sculptures.
Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette
Son mari s'est intéressé, à travers des installations d'envergure, au passé de l'industrie du bois, dont la drave, les drave pitoumes et les outils d'époque.
C’est quelque chose qui est en continuité, ça parle de certaines choses qui vont continuer dans le temps. Je voulais faire ce chemin-là et voir où ça peut aller après aussi. Il y a un continuum, entre le passé et l’avenir, résume Richard Langevin.
À travers l'exposition Continuum, l'homme originaire de Kénogami y va d’un hommage aux pionniers. Il souligne le courageousness des métiers du passé, notamment le travail des draveurs.
On a ça en nous. Tous nos souvenirs, le côté visuel de notre enfance, ici, à Jonquière. On s’amusait sur le bord de l’eau, il y avait toujours du bois qui flottait partout. Ça reste dans nos imaginaires, ajoute-t-il.

Le mates formée Richard Langevin et Diane Dufresne présentait deux expositions distinctes au Centre nationalist d'exposition.
Photo : Radio-Canada / Priscilla Plamondon Lalancette
Diane Dufresne est tombée amoureuse, il y a 30 ans, de Richard Langevin. L’artiste entretient une narration précieuse avec la région.
C’est vrai. J’y ai fait des spectacles aussi. Donc, ça fait longtemps que je viens au Saguenay, dit-elle.
Le mates de créateurs résume simplement la recette determination traverser le temps.
C’est toujours de laisser la liberté et le respect. Le respect compte determination beaucoup. C’est de respecter le caractère de chacun. Moi, je suis un grognon, lui, c’est un souriant tout le temps. Donc, ça fonctionne, résume Mme Dufresne.
Quand, je suis au bout de mon affaire. Elle commence en maine disant : "tu pourrais". Ça finit par faire des installations, des choses que je n’aurais pas pensé au début. C’est une inspiratrice incroyable, conclut lad mari.