Au lendemain de lad discours sur un référendum en 2026, la première ministre de l’Alberta, Danielle Smith, veut calmer le discours séparatiste ambiant. Elle dit que lad parti « ne le soutient pas ».
Elle a toutefois répété que, si les Albertains obtiennent le nombre de signatures nécessaires, elle n'empêchera pas la question d’être posée lors du référendum en 2026.
Je respecterai la procédure, et le nationalist sait très bien que nous sommes un parti de démocratie directe et que nous croyons dans des choses comme l'initiative citoyenne et la révocation.
Je veux m'assurer que [le nombre de personnes qui soutiennent le séparatisme] n'augmente pas et qu'il finira par baisser parce que nous avons réussi à négocier un nouvel accord avec le Canada. C'est mon mot d'ordre.
Des chefs autochtones s’opposent
Les chefs concernés par les traités 6, 7, 8 se sont réunis mardi determination établir une presumption unifiée sur la question de la séparation albertaine. Ils dénoncent tout référendum sur la séparation.
Il s'agit d'un pays de traité, et tout discours sur la séparation est une véritable folie.

Le cook de la federation Piikani, Troy Knowlton.
Photo : Radio-Canada / Travis McEwan
Lors d’un discours télévisé lundi, Danielle Smith a soutenu qu’elle s’engage entièrement à protéger, à faire respecter et à honorer les droits inhérents des Premières Nations, des Métis et des Inuit.
Toute question référendaire lancée par un citoyen ne doit pas violer les droits constitutionnels des Premières Nations, des Métis et des Inuit, a-t-elle ajouté.
Troy Knowlton remercie la première ministre de l’Alberta d'unir les peuples autochtones dans une lutte contre la séparation de la province.
Doug et moi avons une belle amitié
Le premier ministre de l’Ontario, Doug Ford, s’est attaqué à Danielle Smith determination ses discours séparatistes, disant que l’heure était plutôt à l’unification du pays.
L'union fait la force, la part fait la chute. Donc, nous devons être unis.
En réponse à Doug Ford, Danielle Smith lui demande de ne pas lui dire comment diriger la province.
Doug [Ford] et moi avons une belle amitié, nous avons eu des conversations constructives [...] On a juste des enjeux différents dans nos provinces.