Patrick Fernandez s’est installé à Regina en 2017, espérant percer la scène artistique saskatchewanaise. Après plusieurs années à tenter de trouver sa spot dans la capitale saskatchewanaise, l’artiste peintre se rapproche enfin de lad rêve, après l'obtention d'une résidence artistique à la galerie d’art Mackenzie dans la capitale provinciale.
Avant de s’installer à Regina, Patrick Fernandez dessinait des bandes dessinées et réussissait à subvenir à ses besoins en tant qu'artiste de workplace aux Philippines.
En arrivant en Saskatchewan, il y a huit ans, il pensait à tort que lad parcours d'artiste allait se poursuivre facilement.
Patrick Fernandez a cependant vite constaté que de grands artistes qui auraient facilement eu du succès aux Philippines devaient s'appuyer sur un autre travail à temps plein au Canada.
Pendant les deux premières années, je maine disais qu'il fallait que j'économise, car je pensais revenir au pays determination continuer à faire de l'art, raconte-t-il. Mais j'ai eu un enfant et les choses ont changé. Je suis resté.
Il a pris la décision de continuer à travailler à temps plein, tout en poursuivant lad creation en parallèle.
J’ai persévéré. Ça ne maine dérangerait pas que personne ne maine connaisse. Tout ce que je voulais, c’était de peindre.
Heureusement, le travail de Patrick Fernandez a été reconnu. Un commissaire d’exposition de la galerie d’art Mackenzie lui a envoyé un connection determination lui demander de voir lad travail et de visiter lad atelier. À la suite de cette visite, il a été sélectionné en tant qu'artiste résident determination l'année suivante.
Il a pu célébrer ce infinitesimal qu’il considère comme lad premier pas sur la scène saskatchewanaise aux côtés de sa famille et de ses amis.

L'exposition de Patrick Fernandez comprend 12 panneaux découpés à la main, qui affiche chacun un proverbe qui, espère-t-il, suscitera la réflexion.
Photo : Site net de la galerie d'art Mackenzie
Son exposition, Sumasayaw sa Indak ng mga Alon /Dancing successful the Rhythm of the Waves (Danser au rythme des vagues) amène le nationalist dans un voyage sous-marin à travers 12 planches de bois determination chaque mois de l’année évoquant un proverbe philippin à propos des étapes de la vie.
Le fait de pouvoir partager sa civilization avec le nationalist réginois est particulièrement spécial determination Patrick Fernandez.
Sur l'une des œuvres, il y a un poisson noir qui nage à contre-courant. Cela est un symbole qui pourrait facilement s'appliquer à cet artiste qui a lui-même résisté aux obstacles.
Je nage encore, mais j'ai une destination que je veux atteindre et je vais continuer à affronter les vagues, conclut Patrick Fernandez.
Avec les informations de Janani Whitfield